
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Coup de tonnerre en Grande-Bretagne
31 août 2013, par
Le Premier ministre britannique, David Cameron, a vu sa motion demandant l’intervention en Syrie être rejetée par les élus de la Chambre des communes. Ce dernier avait appelé à condamner l’attaque chimique menée en Syrie, mais les élus en ont décidé autrement.
« (…) Depuis avril 2013, des agriculteurs touchés par une forte sécheresse entre avril 2011 et décembre 2012 dans les communes de l’Ouest et du Sud de l’île, déclarées zones sinistrées au titre des calamités agricoles, sont dans l’attente d’un paiement par l’État des indemnités sécheresse.
Presque 4 mois après leur déclaration de pertes agricoles et 8 mois après l’épisode de sécheresse, ils n’ont reçu aucune aide de l’État, alors qu’ils continuent pour certains à subir d’autres contraintes naturelles, à savoir un deuxième épisode de sécheresse, des gelées et une recrudescence localisée de vers blancs qui les freinent à nouveau dans leur production et dans le redressement de leur exploitation agricole.
En outre, il faut souligner que certains ont malheureusement subi un cyclone tropical, “Dumilé”, le 02 janvier dernier, confirmé par un arrêté préfectoral reconnaissant l’état de calamité agricole, suite au passage du météore. Ceux qui ont fait une déclaration de pertes agricoles au titre de ce cyclone, notamment dans les Hauts et sur les zones littorales Ouest et Sud, sont également, à l’heure où nous vous écrivons, dans l’attente du versement de cette indemnité.
(…)
Aussi, nous sollicitons votre intervention auprès de l’État pour simplifier les procédures et réduire les délais de versement des indemnités de calamités agricoles. Surtout, nous comptons sur votre mobilisation pour que les 716 agriculteurs impactés par l’épisode de sécheresse entre avril 2011 et décembre 2012 puissent être indemnisés en urgence par l’enveloppe financière allouée de 2,6 millions d’euros. (…) »
De son côté, la Maison-Blanche envisage d’intervenir seule, mais le Président Barack Obama a indiqué ne pas avoir encore décidé. A l’inverse, la Russie, alliée de Bachar el-Assad, président syrien, reste ferme sur ses positions bloquant toute action du Conseil de sécurité de l’ONU.
La presse anglaise a qualifié le camouflet de la Chambre des communes à la proposition d’intervention en Syrie de David Cameron d’ « humiliation », de « désastre » et de « coup porté » à son autorité.
Une intervention en cas de garantie de l’ONU
La Chambre des communes britannique a voté jeudi 29 août contre la motion présentée par David Cameron pour une intervention militaire en Syrie, celle-ci a été rejetée par 285 députés contre 272.
Ce dernier a déclaré, à la suite de ce vote, qu’il est « clair que le Parlement britannique ne veut pas d’intervention militaire britannique. Je prends note et le gouvernement agira en conséquence ».
La motion de David Cameron condamnait « l’usage d’armes chimiques en Syrie le 21 août 2013 par le régime de Bachar el-Assad » et proposait « une réponse humanitaire forte » de la part de la communauté internationale, « impliquant si nécessaire une action militaire qui soit légale, proportionnée et destinée à sauver des vies en empêchant tout usage futur d’armes chimiques en Syrie ».
Pour "The Times", « David Cameron a subi la nuit dernière la pire humiliation de sa présidence après que les parlementaires, invités à approuver une attaque militaire contre le régime syrien, ont rejeté toute idée de soutien à ce projet, même atténué ».
En effet, Ed Miliband, le chef du Parti travailliste, a annoncé au Premier ministre conservateur qu’il ne soutiendrait pas le vote d’une intervention britannique en Syrie, car « les travaillistes ne soutiendront aucun vote tant que les inspecteurs de l’ONU n’auront pas terminé leurs délibérations et présenté leurs conclusions au Conseil de sécurité », a expliqué le quotidien britannique, citant le leader travailliste.
Ed Miliband a déclaré à la presse que « le Premier ministre s’est montré cavalier et téméraire. Le résultat du vote doit être respecté ».?
La majeure partie des Britanniques est hostile à une intervention en Syrie, selon un sondage You Gov et publié dans le quotidien “The Sun”. Ces derniers ne souhaitent pas déclarer la guerre à la Syrie, comme ce fut le cas en mars 2003 en Irak, pendant le second mandat de Tony Blair. Les conséquences de ce conflit mené avec les États-Unis contre le régime de Saddam Hussein restent vives auprès des Britanniques.
Une action franco-américaine
Le Président François Hollande a affirmé vendredi 30 août que la France participerait à une action « proportionnée et ferme » contre Bachar el-Assad, accusé d’avoir utilisé des armes chimiques. Cette annonce rassure Washington, qui craignait une action unilatérale, après la défection de son allié britannique.
Le président français a demandé ces derniers jours une opération militaire contre Damas, n’excluant pas des frappes aériennes avant mercredi, date de la session extraordinaire du Parlement français sur la Syrie.
Face à ces déclarations, les experts de l’ONU sont attendus samedi, dernière journée d’enquêtes.
Ces derniers rendront leurs observations au secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon. Les experts ont passé près de 4 heures sur l’un des sites dans la banlieue Est de Damas où une attaque chimique aurait été lancée.
Selon un porte-parole de l’ONU à New York, Farhan Haq, ils ont recueilli « quantité » d’éléments sur l’attaque, notamment des échantillons, transmis à des laboratoires en Europe, dont les analyses pourraient prendre des semaines.
Le ministre allemand des Affaires étrangères, Guido Westerwelle, a expliqué dans un entretien à la presse, relevé par l’“Agence France Presse”, que l’Allemagne ne participera pas à une intervention militaire en Syrie.
A Washington, Chuck Hagel, secrétaire américain à la Défense, a indiqué : « Notre approche est de continuer pour trouver une coalition internationale qui agira de concert », lors d’une conférence de presse vendredi à Manille.
Céline Tabou
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