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Le Secrétaire général de l’ONU appelle à une action urgente alors que le monde fait face à une « tempête de catégorie 5 »
19 janvier 2023
Au Forum économique mondial hier à Davos, António Guterres, secrétaire général de l’ONU, a appelé les dirigeants mondiaux à proposer des plans de transition crédibles et transparents pour atteindre zéro émission nette de CO2. Il soutient une action contre les entreprises de combustibles fossiles similaire à celle contre les compagnies du tabac. Il a plaidé pour une refonte de l’architecture financière mondiale et un changement du modèle économique des banques multilatérales de développement.
Dans un discours dqui a abordé les questions les plus critiques de notre époque, le Secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, a exhorté les dirigeants réunis pour la réunion annuelle du Forum économique mondial à prendre des mesures urgentes.
Prenant note d’une série de menaces critiques auxquelles le monde est confronté, de la crise économique à la guerre et à la pandémie, il a déclaré : « Nous regardons l’œil d’une tempête de catégorie 5."
Concernant le changement climatique, il a appelé les dirigeants mondiaux à présenter des plans de transition crédibles et transparents pour atteindre des émissions nettes nulles et à soumettre leurs plans avant la fin de l’année. « La transition vers le zéro émission nette doit être fondée sur des réductions d’émissions réelles — et ne pas reposer essentiellement sur les crédits carbone et les marchés parallèles. C’est pourquoi nous avons créé un groupe d’experts sur les engagements de zéro émission nette.
Faisant un parallèle avec l’industrie du tabac dans les années 1970 — où les entreprises connaissaient les effets dangereux sur la santé — il a déclaré que « Big Oil » devait être tenu responsable de l’impact néfaste des combustibles fossiles sur la planète.
Il a également déclaré qu’un « système financier moralement en faillite » amplifie les inégalités systémiques. Il a appelé à une nouvelle architecture de la dette qui fournirait des liquidités, un allégement de la dette et des prêts à long terme pour permettre aux pays en développement d’investir dans le développement durable.
« Les pays en développement ont besoin d’accéder au financement pour réduire la pauvreté et la faim et faire progresser les objectifs de développement durable », a-t-il déclaré, ajoutant qu’il avait exhorté le G20 à convenir d’un plan mondial de relance des ODD pour soutenir les pays du Sud.
Les banques multilatérales de développement doivent également changer leur modèle économique. Au-delà de leurs propres opérations, a-t-il dit, ils doivent se concentrer sur l’orientation systématique des financements privés vers les pays en développement, en fournissant des garanties et en étant les premiers à prendre des risques. « Sans créer les conditions d’un afflux massif de capitaux vers les pays en développement, il n’y a pas d’avenir ».
Parmi les menaces critiques auxquelles le monde est confronté, Guterres a déclaré que l’une des plus dangereuses est ce qu’il a appelé la « grande fracture », le découplage des deux plus grandes économies du monde, les États-Unis et la Chine — « une fracture tectonique qui créerait deux ensembles différents de règles commerciales, deux monnaies dominantes, deux internets et deux stratégies contradictoires sur l’intelligence artificielle ».
« Selon le Fonds monétaire international, diviser l’économie mondiale en deux blocs pourrait réduire le PIB mondial de 1400 milliards de dollars ». « C’est la dernière chose dont nous avons besoin », a-t-il déclaré.
Notant que les relations américano-chinoises sont tendues, António Guterres a déclaré qu’il était néanmoins possible — et même essentiel — pour les deux pays « d’avoir un engagement significatif sur le climat, le commerce et la technologie pour éviter le découplage des économies » ou même la possibilité de futurs affrontements.
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