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Réunion de l’UNESCO
10 juillet 2012
De nouvelles réserves de biosphère seront ajoutées au Réseau mondial de l’Homme et la biosphère (MAB) lors d’une réunion de l’UNESCO à Paris, a indiqué l’agence onusienne. Elle a également indiqué que la 24ème session du Conseil de coordination du programme MAB aura lieu du 9 au 13 juillet à son siège à Paris.
Selon l’UNESCO, les réserves de biosphère ne sont pas des parcs naturels. Ce sont des sites où sont expérimentées, en concertation avec les populations locales, des pratiques nouvelles pour concilier les activités humaines et la nature.
Le Réseau mondial du MAB compte actuellement 580 sites répartis dans 114 pays. Il réunit des sites aussi divers que le lac cambodgien Tonle Sap, la plus grande étendue d’eau douce d’Asie ; la Mare aux hippopotames au Burkina Faso ; la région des terres humides du Pantanal, au Brésil, ou encore l’île de Fuerteventura dans l’archipel des Canaries (Espagne).
Au cours de cette session, le Conseil de coordination se prononcera sur les nouvelles réserves de biosphère et sur les extensions de réserves existantes sur la base des demandes déposées par 22 pays, a indiqué l’UNESCO.
Lancé au début des années 70, le MAB favorise la recherche interdisciplinaire sur les aspects écologiques, sociaux et économiques liés à la perte de biodiversité.
Le programme MAB combine à la fois les sciences naturelles et sociales, l’économie et l’éducation pour améliorer les moyens de subsistance de l’Homme et sauvegarder les écosystèmes naturels, favorisant ainsi des approches novatrices pour un développement économique qui est socialement acceptable et écologiquement durable.
Pour mettre en application ses différents travaux interdisciplinaires sur le terrain, le MAB s’appuie sur le Réseau mondial de réserves de biosphère, les réseaux et les partenaires régionaux pour l’échange des connaissances, la recherche et la surveillance, l’éducation et la formation, ainsi que la prise de décision participative.
La déforestation inquiète le président du Parlement gambien
Le président du Parlement gambien, Abdoulie Bojang, a exprimé son inquiétude face au niveau de la déforestation dans son pays.
M. Bojang a fait part de son inquiétude jeudi au Parlement où il a exhorté le Ministère de l’Environnement et de la Sylviculture de lutter contre la déforestation qui, selon lui, contribue à la désertification.
« Si rien n’est fait pour stopper la déforestation, le pays tout entier sera un désert en moins de 20 ans », aurait déclaré M. Bojang, préconisant la plantation d’arbres pour améliorer la situation.
L’abattage des arbres à des fins commerciales est en hausse ces derniers temps dans le pays.
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