
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
2 juillet, parC’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
Transition écologique
4 novembre 2017
L’Afrique doit se doter d’infrastructures de qualité pour une industrialisation à faible émission de carbone, ont déclaré, ce mercredi à Addis-Abeba, des participants à la dixième session du Comité de la coopération et de l’intégration régionales.
S’inspirant d’une étude sur la contribution des infrastructures à la valeur ajoutée manufacturière en Afrique, les participants ont souligné que l’importance du rôle des infrastructures de qualité dans le développement industriel ne fait aucun doute, le type d’infrastructures mises en place déterminant la qualité et le rythme de la trajectoire d’industrialisation. Selon le document soumis à l’examen des participants à cette rencontre dont le thème porte sur le thème de la « Mise en œuvre de la Zone de libre-échange continentale et des gains partagés, la mise en place d’infrastructures propres ou « vertes » (énergies renouvelables et efficacité énergétique) contribue à l’industrialisation à faible émission de carbone et résiliente au climat.
De même, soulignent-ils, un développement à faible émission de carbone offre à l’Afrique une variété d’avantages, notamment celui d’éviter de s’enfermer dans des technologies à haute intensité de carbone ; de bénéficier des fonds mondiaux pour le climat qui fourniraient le financement nécessaire pour le développement et de tirer parti des possibilités des énergies renouvelables pour améliorer l’accès à l’énergie par l’intermédiaire de technologies à faible coût et peu polluantes. Il permet également de diversifier le mix énergétique, de réduire la dépendance aux énergies fossiles, de renforcer les capacités techniques du continent et de rejoindre la course au « nouveau développement » comme acteur compétitif.
Selon ce document, l’Afrique a des ressources énergétiques renouvelables et non renouvelables abondantes qui, si elles sont mises en valeur, peuvent alimenter son industrie. Ces ressources peuvent non seulement augmenter les capacités de génération d’énergie, mais également entraîner un développement industriel à faible émission de carbone. Néanmoins, déplore-t-on, peu de ces ressources renouvelables ont été exploitées convenablement : moins de 10 % de l’hydroélectricité africaine est exploitée. Bien que le potentiel d’énergie total est de 14 000 mégawatts dans la vallée du Rift en Afrique de l’Est, seule une petite partie est générée au Kenya (3 000 mégawatts), en Éthiopie (environ 1 000 mégawatts), à Djibouti (environ 850 mégawatts), en Ouganda (450 mégawatts) et en République-unie de Tanzanie (150 mégawatts).
L’Égypte bénéficie de la lumière du soleil entre 9 - 11 h/jour, et le meilleur site pour l’énergie éolienne est le golfe de Suez grâce à ses vents forts et stables. Cependant, la contribution de l’énergie éolienne et solaire représente moins de 5 % de la génération d’énergie du pays.
Malgré un énorme potentiel, l’énergie à base de biocarburants reste limitée et à petite échelle. L’énergie à base de biocarburants pourrait devenir une industrie à part entière, avec les efforts de développement de biodiesel à base de jatropha (une plante à fleurs résistante aux sécheresses) en Côte d’Ivoire, en Tanzanie, en Zambie et au Zimbabwe.
Des efforts sont actuellement déployés pour la production solaire à grande échelle, en particulier pour connecter l’énergie solaire au réseau dans de nombreux pays africains. Cependant, à l’exception de quelques pays (l’Afrique du Sud et le Maroc, entre autres), l’échelle reste négligeable par rapport aux normes internationales.
L’étude recommande un financement innovant pour les technologies d’énergie renouvelable en raison de leur cherté dans le contexte africain, même avec une réduction des coûts dans d’autres domaines. Pour réaliser les objectifs d’industrialisation durable, les actifs infrastructurels qui sous-tendent la croissance doivent être durables et résister aux aléas des extrêmes climatiques. La construction d’infrastructures économiques nécessite souvent des investissements importants en termes de ressources financières et humaines (compétences), et dure souvent longtemps. Les infrastructures sont censées servir l’économie généralement plus de 30 ans.
Tous les types d’infrastructures sont très vulnérables aux catastrophes naturelles et en pâtissent beaucoup. La réparation des infrastructures après une catastrophe naturelle est souvent difficile et onéreuse, ce qui peut affecter négativement les industries et les autres secteurs économiques de la société.
« Les pays africains devraient donc prendre en compte la résilience des actifs infrastructurels aux étapes de conception du projet », recommande le document.
C’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
Nou la di lotro-zour : Tikarl-la in marmay la teknik, Tikok : in marmay lé plis poèt-poèt ! Sa lé bon, mé soman, l’inn konm lot i pé fé gingn aou (…)
Mézami fitintan lo mo « dékonèr » lété konm i di in galissism pars li té pliss in mo la lang franssèz popilèr la rante an missouk dan la lang (…)
Les 132 régions européennes de la coalition "EUregions4cohesion" rencontrent les vice-présidents exécutifs de la Commission Européenne, Raffaele (…)
C’est avec stupéfaction et colère que nous découvrons la volonté du gouvernement de faire des économies sur la prise en charge des affections de (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
Dans les départements d’outre-mer, près d’une femme sur deux qui devient mère ne vit pas en couple, configuration familiale bien plus fréquente (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)
Dan noute kiltir popilèr néna bonpé kozman pou dir sa la éspass dann tan lontan… Mi koné pa pou koué, mé mwin néna dan l’idé k’ni viv in pé an (…)
La dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)