
Poinn dévlopman konsékan pou nou péi l’outre-mèr .
18 juillet, parMézami, mi koné pa zot, koman zot i réazi ané apré ané kan in nouvèl ané i ranplass l’ansyène. Mi koné pa si zot lé sansoussi kan in n’ané i fini (…)
Comme lors de son premier mandat de président des Etats-Unis
12 février
Pour financer ses promesses électorales, Donald Trump utilise l’augmentation des droits de douanes pour générer des recettes afin de compenser les baisses d’impôts qui profiteront aux plus riches. Cette mesure vise aussi à lutter contre la concurrence des importations. Mais la hausse des prix de ces intrants va augmenter le coût de production des industries implantées aux États-Unis qui les utilisent, avec une hausse des prix payés par les consommateurs comme conséquence.
Le président américain Donald Trump a récemment annoncé l’imposition de droits de douane de 25 % sur les importations d’acier et d’aluminium, une mesure qui entrera en vigueur le 4 mars 2025. Cette décision vise tout d’abord à engranger des recettes fiscales pour compenser les diminutions d’impôts profitant en priorité aux plus riches. Le président des États-Unis a besoin de fonds importants pour soutenir les promesses faites durant la campagne électorale. Cette décision vise également à protéger les industries nationales de la concurrence étrangère. Elle a suscité de vives réactions de la part de l’Union européenne et d’autres pays, qui envisagent des mesures de réciprocité.
Les États-Unis appliqueront des droits de douane de 25 % sur toutes les importations d’acier et d’aluminium, sans exception. Cette initiative vise à soutenir les industries métallurgiques américaines en réduisant la dépendance aux importations étrangères. Les principaux partenaires commerciaux des États-Unis, tels que le Canada, le Mexique, le Brésil et la Corée du Sud, seront directement affectés par cette mesure.
Le Canada a qualifié ces tarifs d’« injustifiés » et prépare une réponse appropriée. L’Union européenne, par la voix de sa présidente Ursula von der Leyen, a annoncé des contre-mesures « fermes et proportionnées ».
Le Royaume-Uni, par l’intermédiaire de l’organisation UK Steel, a critiqué cette décision, la qualifiant de coup dur pour le libre-échange.
Cette situation rappelle une décision similaire prise par Donald Trump en 2018, lorsqu’il avait imposé des droits de douane de 25 % sur l’acier et de 10 % sur l’aluminium. À l’époque, le Canada et le Mexique avaient initialement été exemptés, mais les tensions commerciales s’étaient intensifiées, menant à des représailles de la part de l’Union européenne et d’autres partenaires commerciaux. Ces mesures avaient provoqué une augmentation des coûts pour les industries consommatrices de métaux aux États-Unis et des perturbations dans les chaînes d’approvisionnement mondiales.
Les répercussions économiques de la nouvelle hausse des droits de douane pourraient être significatives. Les industries américaines utilisant de l’acier et de l’aluminium importés pourraient faire face à une augmentation des coûts de production, potentiellement répercutée sur les consommateurs. De plus, les mesures de réciprocité envisagées par les autres États pourraient affecter négativement les exportations américaines, exacerbant les tensions commerciales mondiales.
La décision de Donald Trump d’imposer des droits de douane de 25 % sur l’acier et l’aluminium marque un retour plusieurs années en arrière dans la politique commerciale américaine. Les réactions internationales et les précédents historiques indiquent que cette mesure pourrait avoir des répercussions économiques majeures, tant pour les États-Unis que pour les autres pays.
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