
Les sites classés à l’Unesco menacés par un risque grave lié à l’eau
2 juillet73% des 1172 sites non marins classés au patrimoine mondial de l’Unesco sont confrontés à un manque ou un à excès d’eau, a alerté une étude (…)
La nouvelle directive vue par la Commission européenne
6 avril 2006
Suite à l’adoption de la directive Bolkestein revue et corrigée, la Commission européenne a publié un communiqué que nous reproduisons ci-après. Si le principe du pays d’origine qui focalisait la plus forte opposition ne figure plus dans “Bolkestein 2”, le texte a pour objectif de libéraliser ’les échanges et les investissements transfrontaliers dans le domaine des services’ afin ’d’économiser du temps et de l’argent’ pour ’créer davantage de croissance et d’emplois’. Au fond, rien n’est changé.
"La Commission européenne a adopté une proposition modifiée de directive relative aux services dans le marché unique européen. (...) La proposition modifiée se base sur les travaux du Parlement et sur les discussions qui se sont déroulées au sein du Conseil jusqu’à présent. Cette directive permettra de créer davantage de croissance et d’emplois dans l’UE en libéralisant les échanges et les investissements transfrontaliers dans le domaine des services. Il sera plus facile pour les entreprises de s’établir n’importe où dans l’UE, ce qui leur permettra d’économiser du temps et de l’argent. Elles auront également moins de difficultés à fournir des services au-delà des frontières, les États membres étant obligés de supprimer tous les obstacles non justifiés à ces échanges. (...) Il appartient maintenant au Conseil de débattre et de voter sur la proposition modifiée.
Le Commissaire en charge du marché intérieur et des services, Charlie McCreevy, a déclaré : " Il s’agit d’une solution réaliste, pratique et faisable. À un moment critique pour l’Europe, elle devrait permettre à celle-ci de prendre un avantage économique réel. (...) J’attends maintenant de pouvoir travailler avec le Conseil et espère qu’il sera possible de dégager un accord final avant la fin de l’année ".
La Commission (...) déposera une proposition séparée dans le domaine de la santé pour couvrir des questions telles que la mobilité des patients et publiera des communications sur les services sociaux et sur les services d’intérêt général. (...)
- l’établissement d’une entreprise n’importe où dans l’UE : toute entreprise pourra remplir les formalités en ligne et par l’intermédiaire d’un point de contact unique. Les régimes d’autorisation seront plus clairs et plus transparents, tandis que la vérification de l’existence du “besoin économique” (procédure coûteuse imposant à une entreprise de prouver aux autorités qu’elle ne " déstabilise " pas la concurrence locale) ne sera plus permise. L’octroi des autorisations sera donc accéléré et les coûts pour les entreprises réduits ;
- la fourniture de services transfrontaliers : la liberté de fournir des services n’importe où dans l’UE reposera sur un fondement légal. Les États membres devront respecter les droits des fournisseurs de services de proposer ceux-ci dans un État membre autre que celui dans lequel ils sont établis. Ils devront bénéficier d’un libre accès à toute activité de service et pouvoir exercer librement toute activité de service sur n’importe quel territoire. Toutefois, les États membres auront la faculté d’appliquer des mesures non discriminatoires, proportionnées et nécessaires pour des motifs dûment justifiés de protection de l’ordre public, de la sécurité publique, de la santé publique et de l’environnement (...)."
Les secteurs préservés
"Conformément aux amendements apportés par le Parlement européen, la proposition modifiée n’a aucune conséquence sur le droit du travail et n’aborde plus la question du détachement des travailleurs.
Sont exclus du champ d’application de la directive les services financiers, les télécommunications, les services de transport, les services postaux, les soins de santé, les services sociaux liés au logement social, les services de puériculture et de soutien aux familles et personnes en difficulté, les activités liées à l’exercice d’une autorité officielle, les agences de travail temporaire, les services privés de sécurité, les jeux et les services audiovisuels".
(Source Commission européenne)
73% des 1172 sites non marins classés au patrimoine mondial de l’Unesco sont confrontés à un manque ou un à excès d’eau, a alerté une étude (…)
Le patron des communistes, Fabien Roussel, ne se rendra pas à une réunion de la Gauche sur l’hypothèse d’une candidature commune de gauche en (…)
La section PCR du Port apprend avec une profonde tristesse le décès de Nadia PAYET, ancienne déléguée syndicale CGTR. Militante engagée et (…)
C’est avec tristesse que nous apprenons le décès de Nadia Payet, veuve de notre camarade Bruny Payet. Témoignages adresse ses condoléances à (…)
Mézami zot i koné lo kozman k’i di konmsa : « la loi sé lékspréssyon la volonté zénéral. ».Poitan défoi ou lé a’dmandé kossa i lé oziss volonté (…)
Face à l’urgence de la situation de la maltraitance animale à La Réunion, l’association CIANA a lancé un appel aux décideurs, afin de "travailler (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
L’État poursuit son engagement en faveur de la transition énergétique et de la décarbonation de l’électricité à La Réunion. À l’issue d’un appel à (…)
Dans les départements d’outre-mer, près d’une femme sur deux qui devient mère ne vit pas en couple, configuration familiale bien plus fréquente (…)
Une fois de plus, des femmes sont la cible d’une forme de violence lâche, insidieuse et profondément inquiétante : les attaques à la seringue dans (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)