En votant “non” le 29 mai 2005, voici à quoi nous avons échappé

15 mars 2007

« Votez “oui”, c’est sans danger », « Donn pa in koudpié dann ton zasièt mangé, vote “oui” », tels étaient les exhortations et le mépris de celles et ceux qui disaient ne pouvoir imaginer que l’on rejette le "merveilleux" Traité constitutionnel européen et son "extraordinaire" directive Bolkestein.
L’article que nous publions aujourd’hui permettra à chacun de nous de voir ce à quoi nous avons échappé - pour combien de temps encore ? - en refusant la mise à mort de nos droits sociaux et en rejetant la règle mortelle de « la concurrence libre et non faussée ».
À méditer.
En effet, celles et ceux qui ont voulu entraîner La Réunion sur une pente fatale se réveillent aujourd’hui et - avec le même mépris - ils veulent nous interdire de promouvoir un projet de développement réellement durable puisque prenant en compte tous les aspects de notre situation spécifique.

Jean Saint-Marc


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