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Présence suspectée d’armes de destruction massives entre les mains du gouvernement de l’Ukraine
12 mars 2022
Le Conseil de sécurité de l’ONU devait se réunir hier en urgence sur la présumée fabrication d’armes biologiques en Ukraine, à la demande de Moscou. La Russie accuse Washington et Kiev de gérer des laboratoires destinés à produire des armes biologiques en Ukraine. Le 8 mars, la Chine avait également fait part de ses inquiétudes : « les États-Unis, en tant que partie qui connaît le mieux les laboratoires, devraient publier des informations spécifiques pertinentes dès que possible, notamment sur les virus emmagasinés et les recherches effectuées », a notamment déclaré Zhao Lijian, porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères.
Kiev a démenti, mais les États-Unis ont néanmoins confirmé la présence d’agents pathogènes en Ukraine, sans pour autant reconnaître leur développement dans un but militaire. Interrogée le 8 mars par l’élu républicain à la Chambre des représentants Mark Rubio, qui cherchait à savoir si l’Ukraine « possède des armes biologiques », la numéro trois de la diplomatie américaine, Victoria Nuland, avait déclaré : « L’Ukraine a des installations de recherche biologique, et nous sommes très inquiets que les troupes russes, que les forces russes puissent chercher à en prendre le contrôle. Donc nous travaillons avec les Ukrainiens sur la façon dont ils pourraient empêcher que ces matériels de recherche ne tombent entre les mains des forces russes. »
En avril 2020, un communiqué de l’ambassade des États-Unis en Ukraine indiquait ceci :
« Ici, en Ukraine, le programme de réduction des menaces biologiques du ministère américain de la Défense collabore avec le gouvernement ukrainien pour regrouper et sécuriser les agents pathogènes et les toxines présentant un risque pour la sécurité dans les installations gouvernementales ukrainiennes, tout en permettant la recherche pacifique et le développement de vaccins ».
Selon Igor Kirillov, chef des Forces de défense russe contre les radiations, chimiques et biologiques, cité par l’agence Tass le 7 mars, des actes de destruction dans plusieurs laboratoires ukrainiens trahiraient des travaux menés sur des agents pathogènes : « L’analyse des actes de destruction démontre l’existence de travaux menés avec des agents pathogènes de la peste, de la fièvre charbonneuse et de la brucellose dans le biolaboratoire de Lviv, ainsi qu’avec des agents pathogènes de la diphtérie, de la salmonellose et de la dysenterie dans les laboratoires de Kharkiv et de Poltava », affirme-t-il, sans pour autant dévoiler de preuves appuyant ces allégations. Et d’ajouter : « La nomenclature et le nombre excessif de biopathogènes témoignent de travaux réalisés dans le cadre de programmes biologiques militaires. »
La Chine a fait part le 8 mars de ses inquiétudes :
« Selon de récents rapports médiatiques, ces laboratoires biologiques emmagasinent de grandes quantités de virus dangereux, et la Russie a découvert au cours d’opérations militaires que les Etats-Unis utilisent ces installations pour des programmes militaires biologiques », indique une dépêche de Xinhua.
Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Zhao Lijian, a indiqué lors d’une conférence de presse ceci : « En particulier, les États-Unis, en tant que partie qui connaît le mieux les laboratoires, devraient publier des informations spécifiques pertinentes dès que possible, notamment sur les virus emmagasinés et les recherches effectuées (…) Les activités bio-militaires américaines en Ukraine ne sont que la partie émergée de l’iceberg », a indiqué M. Zhao. Sous différents noms, le Département américain de la défense contrôle 336 laboratoires biologiques dans 30 pays.
« Quelle est la véritable intention des États-Unis ? Qu’ont-ils fait exactement ? Ces questions ont toujours été la source de doutes pour la communauté internationale », a noté M. Zhao.
En outre, seuls les États-Unis bloquent depuis 20 ans la construction du protocole de vérification de la Convention sur les armes biologiques, et refusent d’accepter les inspections des installations biologiques à l’intérieur et à l’extérieur de leurs frontières, ce qui ne fait que renforcer les inquiétudes de la communauté internationale, a affirmé le porte-parole.
« Nous exhortons de nouveau la partie américaine à clarifier complètement ses activités militaires biologiques à l’intérieur et à l’extérieur de ses frontières, et à accepter des vérifications multilatérales », a ajouté M. Zhao.
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