
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Conférence des ministres du Commerce à Buenos Aires
27 octobre 2017
« Les accords commerciaux mondiaux et l’harmonisation des normes et des mesures liées à la salubrité alimentaire, conçus de façon à profiter aux agriculteurs familiaux des pays en développement, plutôt qu’à leur causer du tort, sont des objectifs clés à atteindre dans le cadre des négociations commerciales internationales », a déclaré mercredi le Directeur général de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), José Graziano da Silva.
De hauts représentants issus du monde entier se réuniront en décembre, à Buenos Aires, en Argentine, à l’occasion de la Conférence ministérielle de l’Organisation mondiale du commerce. Alors que des thèmes tels que l’e-commerce devraient faire partie des discussions prioritaires de l’événement, le commerce alimentaire et son expansion rapide seront également au cœur des débats, en particulier, après l’accord obtenu lors de la dernière conférence en 2015 à Nairobi, qui vise à mettre un terme aux subventions des exportations agricoles.
« Nous souhaitons nous rapprocher le plus possible d’un système commercial mondial équitable, équilibré et inclusif », a indiqué M. Graziano da Silva. ’L’une des priorités est de favoriser les accords mondiaux face aux accords bilatéraux et aux instruments commerciaux régionaux qui se sont multipliés ces dernières années », a-t-il précisé à l’occasion du Comité des produits de la FAO (CCP).
« Alors que les agriculteurs familiaux produisent 80 pour cent de la nourriture mondiale, beaucoup d’entre eux souffrent également de la faim et comptent sur les possibilités d’importation et d’exportation pour leur sécurité alimentaire et pour se sortir de la pauvreté », a-t-il fait remarquer, ajoutant qu’il était impératif que les politiques et les réglementations fassent leur possible pour repousser les effets de la distorsion des échanges, qui pourraient leur causer du tort.
Le CCP, le comité technique le plus ancien de la FAO, est composé de plus d’une centaine de membres qui se réunissent tous les deux ans et offrent un forum aux discussions préparatoires qui auront lieu lors de la Conférence ministérielle de l’OMC.
Cette année, le thème de cette réunion se penchera sur la manière de tirer profit des contributions du commerce pour réaliser les objectifs liés à la sécurité alimentaire et à la nutrition du Programme de développement durable à l’horizon 2030. Promouvoir la création d’un « système commercial universel, réglementé, ouvert, non discriminatoire et équitable pour tous, sous l’égide de l’Organisation mondiale du commerce » est l’un des objectifs spécifiques de l’ODD numéro 17.
« L’accord de Nairobi visant à mettre un terme aux subventions des exportations agricoles est la réforme la plus importante » dans ce secteur depuis 20 ans et aidera à aplanir les disparités pour que cela profite aux agriculteurs des pays en développement et des pays les moins développés », a déclaré aux délégués le Directeur général de l’OMC, Roberto Azevêdo.
« La Conférence interministérielle de l’OMC à Buenos Aires est une étape importante pour s’assurer que le commerce agricole contribue à la croissance et au développement », a ajouté M. Azevêdo.
« Les stocks publics à des fins de sécurité alimentaire, un prix de soutien intérieur pour le coton, la transparence des restrictions à l’exportation et les subventions pour la pêche feront également partie des sujets discutés au cours de l’événement », a-t-il précisé. La FAO et l’OMC ont renforcé leur partenariat en unissant leurs efforts pour produire une publication conjointe qui explique comment les pays en développement peuvent participer davantage au processus de normalisation alimentaire du Codex Alimentarius et aux Comités de l’OMC sur les mesures sanitaires et phytosanitaires (SPS) et sur les obstacles techniques au commerce (OTC).
M. Azevêdo a indiqué que M. Graziano da Silva et lui « avaient tenté d’encourager un débat sur le commerce et l’agriculture, plus inclusif et substantif ».
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