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Culture
Marché des arts du spectacle africain en Côte d’Ivoire
2 septembre 2003
La 6ème édition du Marché des arts du spectacle africain (MASA) se déroule tout au long de la semaine à Abidjan, selon la ministre ivoirienne de la Culture et de la Francophonie, Anne Affala Messou. « Nous maintenons cette date parce qu’avec l’installation du gouvernement de réconciliation nationale, tout est mis en œuvre pour que la Côte d’Ivoire retrouve la paix. Pour s’en convaincre, il suffit de relever certains actes palpables, notamment la levée du couvre-feu, le cessez-le-feu intégral et la suppression des zones de guerre », a-t-elle déclaré. Elle a également indiqué que la manifestation « donnera l’opportunité aux Ivoiriens de se retrouver dans toutes leurs composantes, et aussi l’occasion pour eux de renouer leurs liens d’amitié avec les autres nations » après la grave crise traversée par leur pays.
Selon la direction générale du MASA, quelque 45 groupes (20 ensembles musicaux, 12 compagnies de théâtre et 13 ensembles chorégraphiques) issus de 23 pays africains sont attendus pour la 6ème édition.
Créé en 1993 par l’Agence intergouvernementale de la francophonie, le MASA est devenu depuis mars 1998 un programme international de développement des arts vivants africains. Il a pour finalité la promotion des œuvres et des artistes africains et leur intégration dans les circuits de diffusion internationaux, en vue de contribuer au développement économique et socio-culturel de l’Afrique.
Le MASA est l’unique projet artistique panafricain qui associe un marché de spectacles, un forum de professionnels et un festival. Il se tient à Abidjan, en Côte d’Ivoire, tous les deux ans, en fin février de chaque année impaire, et présente plusieurs dizaines de groupes artistiques de théâtre, de danse et de musique, en provenance de toute l’Afrique.
Le MASA a pour objectif de faire connaître aux professionnels du Nord et du Sud les meilleures productions africaines de théâtre, de danse et de musique et leurs artistes, et susciter ainsi la circulation de ces productions à l’intérieur de l’Afrique et à travers le monde. Il vise également à soutenir, aider et développer la création ainsi que la circulation et la diffusion théâtrales, chorégraphiques et musicales africaines. Le MASA tenté également de soutenir et développer la mise en place de réseaux de professionnels et de diffuseurs africains. Il veut organiser un perfectionnement professionnel approprié des créateurs, diffuseurs et techniciens des arts du spectacle africains. Enfin, il souhaite contribuer à la promotion du statut et des droits des artistes.
En tant que programme international sans but lucratif doté de la personnalité morale et de l’autonomie de gestion, le MASA est régi par une convention et un texte organique et administré par ses propres instances. Ses relations avec la Côte d’Ivoire sont définies par un accord de siège signé le 20 février 1999.
Le MASA est financé par l’Agence Intergouvernementale de la Francophonie et la Côte d’Ivoire, à plus de 80 %. Certaines organisations internationales comme l’UNESCO et l’ADAMI participent au financement. D’autres sont sollicitées telles que la Commission Européenne, l’OUA, l’ISESCO, le Commonwealth, etc.
Des financements sont aussi recherchés auprès du secteur privé et des sponsors.
Les activités du MASA |
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Les ressources mises à la disposition du MASA servent à financer les activités suivantes :
- Une campagne d’information et de promotion du MASA auprès des administrations culturelles nationales et des gouvernements africains, des diffuseurs et professionnels internationaux et des artistes vivant et travaillant en Afrique, des marchés et bourses de spectacles et des festivals internationaux. - La sélection des meilleures productions théâtrales, chorégraphiques et musicales, dans chaque pays africain. - L’organisation, pendant huit jours à Abidjan, d’un marché des arts du spectacle, avec les groupes artistiques sélectionnés, d’un festival populaire et d’un forum d’échanges entre professionnels, activités auxquelles participent en moyenne 2.000 artistes et professionnels de la diffusion des arts vivants. - Des actions de développement des arts vivants africains, en amont et en aval de la manifestation, tels que les aides à la création, à la circulation et à la diffusion des productions artistiques, le soutien et le développement des réseaux de professionnels et de diffuseurs, l’organisation du perfectionnement professionnel des acteurs des arts vivants africains. « Ces actions sont indispensables au développement du MASA », indique l’organisation, « car elles donnent une assise intégrée au programme. Elles ne peuvent être déployées sans un apport de ressources financières complémentaires ». |
Qui participe ? |
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Afin de lui garantir indépendance et professionnalisme, la sélection du MASA est confiée à un comité international de sélection comprenant, au plus, quatre professionnels du théâtre, de la danse et de la musique.
La sélection combine les observations permanentes des créations nationales, les repérages des spectacles pendant les festivals nationaux, régionaux et internationaux et les missions de sélection dans les pays quand cela s’avère indispensable. |
La SADC demande la levée des sanctions contre le Zimbabwe |
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Le secrétaire exécutif de la Communique pour le développement des États d’Afrique australe (SADC de son sigle anglais) Prega Ramsamy a plaidé ce samedi à Paris pour une levée des sanctions internationales contre le Zimbabwe, affirmant qu’elles étaient « contre-productives ».
« Nous demandons la levée immédiate de toutes les sanctions prises contre le Zimbabwe, parce que nous sommes, à la SADC, solidaires de ce pays et parce que nous sommes sûrs que ces sanctions ne sont pas le meilleur moyen de dénouer la crise politique que connaît le Zimbabwe », a estimé Prega Ramsamy. « Nous devons donner une chance aux Zimbabwéens de résoudre, par eux-mêmes, leur problème dans la sérénité et le dialogue. Nous devons les laisser travailler en nous abstenant de toute pression inutile et d’attaques déplacées à travers les médias », a ajouté le secrétaire exécutif de la SADC. Il a en outre précisé que l’Organe de défense et de sécurité de la Communauté pour le développement de l’Afrique australe entretient un dialogue suivi avec les protagonistes de la crise zimbabwéenne, avec de meilleures chances d’arriver à des résultats concrets. Accusé d’atteinte à la démocratie et de graves violations des droits humains, le pouvoir de Harare est depuis quelques années soumis à des sanctions internationales décidées notamment par les États-Unis et les quinze pays de l’Union européenne. Ces sanctions, contestées par de nombreux États africains qui y voient des relents néocoloniaux, prévoient, rappelle-t-on, le gel des avoirs bancaires des principaux responsables du pays ainsi que des restrictions à leurs déplacements à l’étranger, en Europe et aux Etats-Unis, particulièrement. |
An plis ke sa.. |
Grand chantier de construction navale dans le Sud de la Chine
La Société nationale de Construction navale de Chine (SNCNC) projette de construire un nouveau chantier naval à Guangzhou, capitale de la province du Guangdong, chantier qui sera le plus grand du genre dans le Sud de la Chine. Cette société avait récemment signé un accord avec le gouvernement municipal de Guangzhou pour ce projet. Guangzhou a sélectionné un emplacement long de 4,5 kilomètres sur l’îlot Longxue, une part de Nansha relevant de cette municipalité, pour construire ce chantier naval. Durant les sept premiers mois de cette année, le montant des importations et des exportations des entreprises privées chinoises a atteint 28,02 milliards de dollars, 2,7 fois celui de la même période de l’année dernière, selon les statistiques faites par la douane. De janvier à juillet, la valeur des importations et des exportations des entreprises privées a été respectivement de 15,87 milliards de dollars et de 12,15 milliards de dollars, soit une croissance respective de 260% et de 280% en comparaison avec la même période de l’année passée. |
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