
Poinn dévlopman konsékan pou nou péi l’outre-mèr .
18 juillet, parMézami, mi koné pa zot, koman zot i réazi ané apré ané kan in nouvèl ané i ranplass l’ansyène. Mi koné pa si zot lé sansoussi kan in n’ané i fini (…)
Des conséquences mondiales pour la santé
8 février
La fermeture de l’USAID a des conséquences majeures sur l’aide humanitaire mondiale. La contribution des États-Unis représentait à présent 42 % du budget de l’aide humanitaire à l’échelle du monde. Cela représente plus de 40 milliards de dollars par an. Des programmes essentiels pour des pays en développement sont stoppés. En Afrique, des millions de patients atteints du VIH perdent l’accès aux traitements. Partout dans le monde, des hôpitaux doivent fermer. Cette situation crée un vide qu’il faudra combler.
La fermeture de l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID) a des répercussions profondes sur la scène internationale. Avec plus de 42 % du budget mondial de l’aide humanitaire provenant des États-Unis, cette décision crée une situation sans précédent.
L’une des conséquences immédiates est la mise en congé administratif de 10 000 employés de l’USAID. Ceci compromet la mise en œuvre de nombreux programmes essentiels dans des domaines tels que la santé, l’éducation et le développement économique.
Dans le secteur de la santé, les effets sont importants. En Afrique, la distribution de traitements contre le VIH est bloquée, mettant en danger la vie de millions de personnes dépendant de ces médicaments pour leur survie. Des cliniques financées par des programmes américains de lutte contre le VIH, qui ont joué un rôle important dans la maîtrise de l’épidémie mondiale de sida, ont dû fermer leurs portes, laissant de nombreux patients sans accès aux traitements vitaux. De plus, plusieurs hôpitaux, notamment dans des pays en développement, ont dû fermer en raison de l’arrêt des financements de l’USAID, privant ainsi des communautés entières d’accès aux soins médicaux.
La fermeture d’USAID a des conséquences dévastatrices sur les infrastructures de santé dans de nombreux pays en développement.
De plus, la fermeture de l’USAID compromet la construction et la maintenance d’hôpitaux, de cliniques et de laboratoires dans plusieurs pays. Cette situation entraîne une détérioration des infrastructures de santé, limitant l’accès aux soins pour des millions de personnes et aggravant les crises sanitaires existantes.
À Madagascar, le gel de l’aide américaine menace la continuité des services de santé, notamment dans les centres de santé de base et les hôpitaux, qui dépendent fortement du soutien financier et technique de l’USAID. La suspension des aides de l’USAID impacte directement des secteurs clés tels que la santé maternelle, la lutte contre les maladies infectieuses et la résilience face aux catastrophes naturelles.
Au Mali, l’USAID a suspendu tous ses programmes, affectant des initiatives en matière d’éducation, de santé et de développement économique. Cette suspension laisse de nombreuses organisations locales sans ressources, compromettant des projets vitaux pour la population.
En Haïti, bien que les informations spécifiques sur la fermeture d’établissements de santé ne soient pas détaillées, l’USAID a historiquement joué un rôle important dans le soutien aux services de santé. La cessation des activités de l’agence pourrait donc avoir des répercussions significatives sur le système de santé haïtien.
Au Cambodge, l’incertitude plane sur les programmes financés par l’USAID, notamment dans les domaines de l’agriculture, de la sécurité alimentaire et des droits humains. Les organisations locales craignent des retards ou des annulations de projets essentiels au développement du pays.
Cette fermeture laisse un vide qu’il est nécessaire de combler. Rappelons qu’avant cette décision, la Chine, à travers son agence China Aid, a déjà augmenté ses efforts, notamment par des projets d’infrastructure, renforçant ainsi sa position sur la scène mondiale.
En réponse à la fermeture d’USAID, des syndicats de travailleurs gouvernementaux ont intenté une action en justice contre l’administration Trump, qualifiant la décision d’ « inconstitutionnelle et illégale ». Ils soutiennent que cette décision va précipiter une « crise humanitaire mondiale » en interrompant des programmes d’aide vitaux.
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