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Sommet de l’Union africaine
19 février 2024, par
« Nous savons très bien que notre liberté est incomplète sans celle de la Palestine » : cette phrase de Nelson Mandela citée par le président de la Commission de l’Union africaine le 17 février à Addis-Abeba a donné le ton. Le Sommet de l’Union africaine des 17 et 18 février a rappelé la solidarité avec les Palestiniens victimes de l’armée israélienne à Gaza. Mohammad Shtayyeh, Premier ministre palestinien, était invité à s’exprimer à la tribune.
L’intervention de Lula, président du Brésil, a été la plus médiatisée : « Ce n’est pas une guerre de soldats contre soldats. C’est une guerre entre une armée hautement préparée et des femmes et des enfants. Ce qui se passe dans la bande de Gaza avec le peuple palestinien ne s’est produit à aucun autre moment de l’histoire. En fait, cela s’est déjà produit : lorsque Hitler a décidé de tuer les Juifs », a-t-il rappelé, soulignant que « ce qui se passe dans la bande de Gaza n’est pas une guerre, c’est un génocide »
Le Sommet de l’Union africaine a montré le soutien des dirigeants de notre continent à la lutte des Palestiniens contre le colonialisme dans leur pays. Le 17 février lors de l’ouverture, Moussa Faki Mahamat, président de la Commission de l’Union africaine, a commencé son discours par la lutte anti-coloniale en Palestine :
« Non seulement les inégalités sociales se sont creusées, les injustices se sont multipliées mais l’hégémonie et les velléités absurdes de régler nos divergences par la force brutale et vaine prévalent publiquement sous les yeux de tous.
Le cas le plus flagrant est celui de Gaza en Palestine, littéralement rasée, son peuple presque exterminé dans l’intégrité physique de dizaines de milliers de ses habitants, humilié dans sa dignité et spolié de tous ses droits », a rappelé le président de la Commission de l’Union africaine.
« Il me plaît dans ce cadre d’exprimer ma satisfaction à la double réaction judiciaire et éthique de l’Afrique du Sud. Sa saisine de la Cour Internationale de Justice trouve tout son fondement dans l’indéfectible attachement de l’Afrique a de telles valeurs. Elle rappelle avec forte résonance la parole de Nelson Mandela lorsqu’il affirmait : « Nous savons très bien que notre liberté est incomplète sans celle de la Palestine ».
La décision que vient de prendre la Cour Internationale de Justice prolonge la pertinence de la démarche et retentit comme une victoire, non seulement pour l’Afrique, mais également pour tous les autres pays qui ont témoigné leur indéfectible soutien à la juste cause du peuple palestinien », conclut à ce sujet Moussa Faki Mahamat.
Invité à s’exprimer à la tribune devant les dirigeants de l’Afrique, Mohammad Shtayyeh, Premier ministre palestinien, a rappelé la convergence des luttes entre son peuple et ceux de notre continent :
« Les Palestiniens défendent leur pays comme vous, en Afrique, avaient défendu vos terres contre le colonialisme »
Autre invité, Luiz Ignacio Lula Da Silva dit Lula, le président de la République du Brésil, a également abordé cette question. Devant les chefs d’État africain, il a rappelé ce que signifie la guerre coloniale menée par l’extrême droite au pouvoir à Tel Aviv.
« Ce n’est pas une guerre de soldats contre soldats. C’est une guerre entre une armée hautement préparée et des femmes et des enfants », a déclaré le président du Brésil.
« Ce qui se passe dans la bande de Gaza avec le peuple palestinien ne s’est produit à aucun autre moment de l’histoire. En fait, cela s’est déjà produit : lorsque Hitler a décidé de tuer les Juifs », a-t-il rappelé, soulignant que « ce qui se passe dans la bande de Gaza n’est pas une guerre, c’est un génocide »
Conséquence logique des crimes perpétrés à Gaza par son armée coloniale, l’État d’Israël a été exclu de l’Union africaine. Tel Aviv a perdu son statut d’observateur.
Le Sommet de l’Union africaine a donc rappelé la solidarité dans la lutte anti-coloniale.
M.M.
Le projet du SIDELEC visité par une équipe de la télévision France 5
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