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Les deux premiers producteurs mondiaux suspendent leurs ventes
14 juin 2019
Les deux premiers producteurs de cacao ont décidé de ne plus vendre afin d’obtenir un prix de 2300 euros la tonne au lieu d’à peine 1000 euros.
La Côte d’Ivoire et le Ghana sont les deux premiers producteurs mondiaux de cacao. Ils ont décidé de suspendre les ventes de cacao qui doit être récolté l’année prochaine afin d’obtenir l’assurance d’un prix garanti. Ils réclament 2300 euros la tonne.
RFI précise que « le but affiché de cette épreuve de force, qualifiée d’« historique » par certains opérateurs, est de mieux rémunérer les producteurs. Aujourd’hui en Côte d’Ivoire où le cacao pèse 10% du PIB, le prix bord champ, fixé par l’État à 750 francs CFA le kilo (1,14 euros) cette année, n’est pas respecté. Il se situe en réalité plutôt entre 500 et 700 francs CFA (0,76 et 1,07 euros) le kilo, selon l’Association nationale des producteurs de Côte d’Ivoire, l’Anaproci, dont le président Kanga Koffi est très réservé sur l’issue des discussions d’Accra ».
« On attend de voir quel sera l’impact réel sur le terrain pour les producteurs. L’État de Côte d’Ivoire a déjà décaissé 38 milliards de francs CFA [60 millions d’euros] de subventions, mais les producteurs n’en ont pas bénéficié », explique le président de l’Anaproci. Selon Kanga Koffi, compte tenu des charges, officielles ou officieuses, qui pèsent sur les producteurs ivoiriens, un prix décent se situerait autour de 1 000 francs CFA le kilo (1,52 euros soit 1520 euros la tonne).
Les producteurs devraient en savoir plus le 3 juillet lors d’une réunion technique à Abidjan, convoquée pour discuter de la mise en œuvre de ce prix plancher.
« L’industrie ne semble pas effrayée par cet ultimatum car, pour le moment, le marché du cacao est plutôt favorable », explique RFI : négociants et chocolatiers attendent d’en savoir un peu plus, mais ils ne sont pas plus ébranlés que cela par l’exigence d’un prix plancher de la part du Ghana et de la Côte d’Ivoire. « Le cacao n’est pas une matière première assez chère », confie même le PDG du chocolatier français Cémoi. « Tout ce qui va dans le sens des producteurs est bon », juge de concert un négociant. Quant à Nestlé, la multinationale suisse dit « attendre avec intérêt la poursuite des discussions constructives qui identifieront des mesures réalisables ». »
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