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4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
La nouvelle politique de la Banque centrale européenne change tout
27 janvier 2015, par
Alors que Syriza vient de remporter les élections législatives, son programme est décrié par la chancelière allemande mais soutenu par la Banque Centrale Européenne (BCE), qui a décidé de racheter de la dette publique et privée, afin de relancer la croissance.
De nombreuses menaces pesaient sur les Grecs : sortie de la zone euro, faillite du pays, accumulation des inégalités, et pourtant le peuple grec a décidé de voter contre l’austérité, espérant souffler un peu face aux obligations de la troïka (FMI, UE, BCE). C’est arrivé au moment même où de nombreux dirigeants européens, sauf Angela Merkel, souhaitaient un assouplissement des règles européennes, pour pouvoir relancer leur croissance respective.
La Banque centrale européenne (BCE) a décidé de racheter jusqu’à 60 milliards d’euros de dette publique et privée par mois entre mars 2015 et septembre 2016. Cette décision Le président de la BCE, Mario Draghi, a indiqué que le conseil des gouverneurs « a décidé de lancer un programme élargi de rachats d’actifs », au cours de sa conférence de presse à Francfort.
Cette annonce a été faite avant les élections en Grèce, où le parti anti-austérité Syriza a remporté dimanche 25 janvier, les élections législatives. Le programme économique de Syriza a comme axe central de mettre fin à l’austérité, renégocier la dette et relancer la croissance.
Le parti de la gauche radicale a annoncé lundi 26 janvier, que son gouvernement allait relever le niveau de vie des Grecs les plus vulnérables, avec la hausse du niveau de salaire ou de retraite, ainsi que par des allégements fiscaux et la mise en place d’aides sociales pour les plus démunis.
Ces mesures devraient être financées « à hauteur de 6 milliards par les transferts de fonds européens et à hauteur de 3 milliards par des recettes issues de la lutte contre la fraude fiscale », a expliqué au quotidien Le Monde, l’économiste Georges Stathakis, l’un des artisans de ce projet économique.
Cependant, la Grèce est toujours exclue des marchés et attend depuis décembre 2014, le versement d’une tranche de plus de 7 milliards d’euros de prêts de ses créanciers. L’annonce du rachat de la dette par la BCE vient conforter le programme de Syriza, qui veut renégocier sa dette.
La volonté de Syriza a changé la donne en matière de gouvernance, l’Union européenne va devoir composer avec Alexis Tsipras, prochain Premier ministre grec, et choisir entre l’affrontement et des concessions difficiles à accepter pour certains pays, comme l’Allemagne.
En effet, la chancelière allemande avait évoqué une possibilité du retrait de la Grèce de la zone euro, si Syriza était élu. Désormais, le parti anti-austérité est au pouvoir et devrait compter sur la BCE pour mettre en place son programme politique.
Cependant, Angela Merkel avertit la BCE, « il faut empêcher que la pression pour l’amélioration de la compétitivité diminue à cause de l’action de la BCE », qui s’avère être le programme d’assouplissement quantitatif (QE). En injectant de l’argent frais dans l’économie de la zone euro, la banque centrale veut lutter contre le risque de déflation et soutenir la reprise. Une mesure rejetée par la chancelière qui préfère la compétitivité.
Cette dernière a indiqué à l’attention de Syriza, qu’ « il est pour nous important que les mesures du nouveau gouvernement visent la poursuite de la reprise économique de la Grèce, ce qui implique que les engagements pris soient respectés », a déclaré son porte-parole Steffen Seibert. Malgré ces avertissements, le nouveau gouvernement grec a assuré qu’il serait à la hauteur des défis de son pays.
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