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Syriza favori du scrutin
23 janvier 2015, par
Le 25 janvier, les Grecs seront appelés aux urnes pour l’élection législative anticipée, qui place en première ligne le parti anti-austérité d’Alexis Tsipras, Syriza. Le contexte économique et social de la Grèce est au cœur de cette élection, alors que le pays doit plus de 20 milliards d’euros et un taux de chômage et de pauvreté record.
Scrutée à la loupe, cette élection est le sujet de tension en raison de sa dépendance envers ses créanciers, à commencer par l’Union européenne (UE). En effet, le parti de la gauche radicale Syriza, promet en cas de victoire de remettre en cause les réformes et l’austérité imposées par les bailleurs de fonds du pays : la zone euro, la Banque centrale européenne (BCE), et le Fonds monétaire international (FMI).
Donné gagnant avec une avance de 3 % à 4,5 % selon les derniers sondages, face au premier ministre sortant Antonis Samaras (Nouvelle Démocratie, conservateur), Syriza craint toutefois de faire des alliances, l’obligeant à s‘écarter de son programme. Cependant, le parti tente de rassurer les instances communautaires.
« L’Europe ne devrait pas avoir peur de partis comme Syriza, si elle doit avoir peur de quelque chose, c’est d’elle-même. Je me réfère aux politiques stratégiques dominantes d’extrême austérité, qui ont été imposées principalement par la principale puissance : l’Allemagne », a expliqué le porte-parole de Syriza, Panos Skourletis, sur Euronews.
En cas d’incapacité de remporter les 151 sièges nécessaire pour une majorité, Syriza pourrait s’allier au parti centriste, Potami (la Rivière). Créé en 2014 par le journaliste Stavros Theodorakis, le parti apparaît comme un des partenaires de coalition les plus probables.
Pour l’heure, les deux partis campent sur leur position, d’un côté pour le parti centriste, une coalition sera possible à quatre conditions : la Grèce dans l’Union européenne, la création d’un Etat social, l’équité et la croissance économique.
Selon deux sondages de la société GPO et de l’université de Macédoine, Potami obtiendrait entre 5,2 et 7,5 % des votes. Situé derrière à la troisième place, derrière la coalition de gauche radicale Syriza et les conservateurs de la Nouvelle Démocratie, le parti se dit prêt à coopérer avec les deux.
De son côté, la majorité conservatrice-socialiste tente de rattraper son retard de plus de 4 points en faisant appel à la peur. En effet, dès le début de cette campagne, la coalition met l’accent sur la crainte de nombreux grecs d’une sortie de la zone euro et le spectre d’une insolvabilité du pays.
Candidat à sa réélection, le Premier ministre Antonis Samaras promet de réduire l’impôt sur les sociétés de 26 % à 15 % et de baisser l’impôt sur les revenus les plus hauts de 42 % à 33 % pour séduire les 10 à 15 % d‘électeurs indécis.
Il promet aussi de réduire la taxe sur les biens fonciers sans donner de chiffres et qu’il n’y aura pas de réduction des retraites ni des salaires. Mais Antonis Samaras a conditionné ses promesses aux négociations avec ses créanciers. Des créanciers vivement contestés par les Grecs, qui dénoncent la mise sous tutelle de leur pays.
Des créanciers qui exigent le respect des engagements préalables, pour qu’Athènes touche le restant du plan de sauvetage européen. Le pays doit rembourser plus de 20 milliards d’euros de prêts en 2015, alors que sa croissance reste encore mitigée et que le chômage et la pauvreté ne cesse de croitre.
Conscient qu’ils ne pourront pas gagner les élections sur leurs propositions, les conservateurs et socialistes martèlent la volonté de Syriza de renégocier la dette et revoir les accords passés avec les créanciers, qui ont conduit des milliers de grecs à la pauvreté.
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