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Social
1er juin 2012, par
Mercredi 30 mai a été une journée de grève dans plusieurs secteurs d’activités dans l’ensemble du pays. Enseignants, médecins, magistrats manifestent en signe de protestation contre des mesures gouvernementales ou pour des revendications sociales.
Des grèves générales sont annoncées dans les prochains jours dans des régions intérieures du pays, notamment à Jendouba et le Kef du Nord-Ouest afin de protester contre « les conditions de vie précaires » et le « taux de chômage élevé ».
Depuis la révolution tunisienne l’an dernier, le gouvernement a tenté de remédier au déséquilibre entre les régions extérieures et intérieures, en adoptant un programme économique et social qui prévoit le lancement de plusieurs grands projets de développement en faveur de ces zones dites « marginalisées ».
Houcine Abassi, le secrétaire général de la principale centrale syndicale, l’UGTT, a annoncé l’annulation de certaines grèves suite à des accords sur des majorations salariales conclus avec le gouvernement. Ce dernier a précisé que les négociations allaient se poursuivre afin de répondre aux revendications des travailleurs.
Les enseignants et les médecins réclament l’amélioration de leur situation sociale, et pour ces derniers, de meilleures conditions de travail et une plus grande reconnaissance de la part de l’État. « Nous souffrons d’un manque criant d’équipements. Il y a aussi des phénomènes de violences, des agressions à l’hôpital, et nous demandons à l’autorité de tutelle d’assurer notre sécurité », a déclaré à l’“AFP” le Dr Habiba Mizouni, du Syndicat général des médecins hospitaliers et dentistes.
De leur côté, les enseignants demandent une prime de rentrée scolaire et les mêmes horaires que leurs collègues du secondaire. Selon les syndicats de l’enseignement, cité par Afrik.com, près de 85% des instituteurs ont suivi cette première journée de grève, qui a été poursuivie jeudi 31 mai.
A contrario, les magistrats du pays ont annoncé une grève indéterminée « jusqu’à ce que le ministre de la Justice revienne sur sa décision de révoquer 81 magistrats », selon un communiqué du Syndicat des magistrats tunisiens (SMT). Ces derniers demandent la révision d’une mesure de révocation prise par le ministre de la Justice contre des magistrats soupçonnés de corruption sous le régime de l’ancien Président Ben Ali. La présidente du syndicat, Raoudha Labidi, a annoncé que cette mesure était « contraire aux fondements de la justice transitionnelle qui exigent de révéler la vérité au peuple et de juger ceux qui ont violé les droits, tout en garantissant des jugements équitables et surtout le droit à la défense ».
Malgré la contestation, une seconde liste sera publiée par le Ministère de la Justice dans les semaines à venir, accentuant la situation actuelle.
Céline Tabou
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