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« Crise humanitaire sans précédent sur le continent africain »
17 février
Le Secrétaire général de l’ONU a appelé, vendredi, les forces rivales soudanaises à cesser les hostilités durant le ramadan dans ce pays ravagé depuis avril 2023 par une guerre qui a déplacé 12 millions de personnes.
« Le mois sacré du Ramadan approche à grands pas. Nous devons faire plus — et faire plus maintenant — pour aider le peuple soudanais à sortir de ce cauchemar », a dit Antonio Guterres, secrétaire général de l’ONU, lors d’une lors d’une conférence sur la situation humanitaire dans ce pays d’Afrique du Nord-Est, en marge du sommet de l’Union africaine (UA) en Éthiopie.
En cette « période bénie pour la paix, la compassion, le don et la solidarité », il a invité les belligérants à utiliser leur « formidable levier pour faire le bien ». « Soutenez généreusement la réponse humanitaire et faites pression pour le respect du droit international, la cessation des hostilités, l’aide vitale et la paix durable dont le peuple soudanais a si désespérément besoin », a insisté M. Guterres.
A Addis Abeba, le Chef de l’ONU a rappelé que cette crise exige une attention soutenue et urgente de la part de l’Union africaine et de la communauté internationale au sens large.
Une façon de rappeler que le Soudan est en proie à « une crise d’une ampleur et d’une brutalité stupéfiantes ». « Une crise qui s’étend de plus en plus à l’ensemble de la région ».
En attendant, le soutien extérieur et l’afflux d’armes au Soudan doivent « cesser », a exhorté le Secrétaire général de l’ONU. Car ce flux permet la poursuite d’une destruction et d’une effusion de sang considérables pour les civils.
« Nous savons ce que veut le peuple soudanais », a-t-il fait valoir.
A ce sujet, il a rappelé les consultations « approfondies » menées par les Nations Unies avec les civils soudanais. Et ces derniers réclament à « grands cris un cessez-le-feu immédiat et la protection des civils ».
Sur le front diplomatique, l’Envoyé spécial de l’ONU au Soudan, Ramtane Lamamra continue de discuter avec les parties belligérantes des « moyens concrets d’atteindre ces objectifs, notamment par la mise en œuvre intégrale de la déclaration de Djeddah » sur la protection des civils.
Depuis avril 2023, la guerre a fait des dizaines de milliers de morts et a déplacé plus de 12 millions de personnes. Alors que l’armée contrôle l’est et le nord du Soudan, les paramilitaires maintiennent leur emprise sur la quasi-totalité du Darfour, une vaste région de l’ouest du pays.
Sur le terrain, l’accès humanitaire reste un « défi fondamental, en particulier là où les combats sont les plus actifs ». Il a ainsi plaidé pour « un accès humanitaire rapide, sûr, sans entrave et durable doit être facilité dans toutes les zones où le besoin s’en fait sentir ». Pour l’ONU, les civils, y compris les travailleurs humanitaires, doivent être protégés.
Par ailleurs, les Nations Unies et leurs partenaires lanceront le 17 février prochain à Genève, le plan de réponse humanitaire 2025 et le plan régional pour les réfugiés.
En réponse à cette « crise humanitaire sans précédent sur le continent africain », ces plans nécessiteront 6 milliards de dollars pour venir en aide à près de 21 millions de personnes à l’intérieur du Soudan et jusqu’à 5 millions d’autres — principalement des réfugiés — dans les pays voisins.
Ces appels coordonnés par l’ONU dépassent de loin tous ceux déjà lancés pour le Soudan et la région. « Ils témoignent en effet de l’ampleur sans précédent des besoins auxquels nous sommes confrontés », a insisté M. Guterres.
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