
Poinn dévlopman konsékan pou nou péi l’outre-mèr .
18 juillet, parMézami, mi koné pa zot, koman zot i réazi ané apré ané kan in nouvèl ané i ranplass l’ansyène. Mi koné pa si zot lé sansoussi kan in n’ané i fini (…)
Appel du président ukrainien à une armée européenne sans les Etats-Unis à la conférence de Munich
18 février
Volodymyr Zelenski appelle à la création d’une armée européenne face aux incertitudes sur l’engagement américain en Ukraine. JD Vance, vice-président des États-Unis, affirme que la principale menace pour l’Europe est interne, non la Russie ou la Chine. L’Europe peut-elle compenser un éventuel retrait américain du soutien au régime ukrainien ?
Lors de la récente Conférence de sécurité de Munich, le président ukrainien Volodymyr Zelenski a lancé un appel en faveur de la création d’une armée européenne unifiée. Cette proposition intervient dans un contexte de tensions croissantes entre les États-Unis et leurs alliés européens, exacerbées par les déclarations du vice-président américain JD Vance, qui a affirmé que la principale menace pour l’Europe n’était pas la Russie ou la Chine, mais des dangers internes au continent.
Dans son discours, JD Vance a soutenu que les élites européennes sapent la liberté d’expression et la démocratie, posant ainsi une menace plus grave que les forces extérieures. Cette position a été mal accueillie par de nombreux responsables européens, qui y ont vu une remise en question de l’engagement américain envers la sécurité du continent. Parallèlement, l’administration Trump a initié des pourparlers de paix directs avec la Russie concernant le conflit en Ukraine, excluant les alliés européens dont l’Ukraine de ces négociations.
Face à ces développements, le président Zelenski a exhorté les nations européennes à prendre en main leur propre défense. Il a déclaré : « L’Europe doit avoir des décisions indépendantes et jouer un rôle crucial dans son avenir géopolitique. » Zelenski a souligné que la création d’une armée européenne permettrait non seulement de renforcer la sécurité du continent, mais aussi de garantir que l’Europe soit prise au sérieux sur la scène internationale, en particulier par les États-Unis. Il a ajouté que cette initiative obligerait les autres puissances à considérer la participation européenne dans les négociations internationales, notamment celles concernant les conflits avec la Russie.
La question se pose alors : les États européens sont-ils en mesure de compenser un éventuel désengagement américain en Ukraine ? L’Union européenne a déjà promis au moins 30 milliards d’euros d’aide financière à l’Ukraine pour 2025, dont une grande partie est destinée à l’achat d’armes. Cependant, cette somme reste inférieure aux montants alloués par les États-Unis sous l’administration Biden. Selon des diplomates, les Européens veulent également aider l’Ukraine à passer l’hiver alors que la Russie pilonne jour après jour ses infrastructures énergétiques.
La mise en place d’une armée européenne unifiée nécessite une coordination politique et militaire approfondie entre les États membres, ainsi qu’un investissement financier substantiel. La capacité de l’Europe à combler un éventuel vide laissé par un retrait américain interroge. Les pays européens de l’OTAN ont-ils les moyens de soutenir une guerre contre la Russie en Ukraine sans le soutien des Etats-Unis ?
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