
Un effort supplémentaire de 5 milliards d’euros nécessaire cette année
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13 novembre 2008, par
Les ministres africains des Finances ainsi que les gouverneurs des banques centrales se rencontrent depuis le 12 novembre 2008, à Tunis, pour discuter de la crise financière mondiale et ses effets potentiels sur les économies africaines. Organisée par la Banque africaine de développement (BAD), la Commission de l’Union africaine (UA) et la Commission Economique pour l’Afrique de l’organisation des Nations Unies (UNECA), la conférence vise à mobiliser les Africains en vue de rechercher une réponse à la crise financière. Les pressions budgétaires engendrées par les plans de sauvetage, mis en œuvre par les pays développés, risquent d’entraîner une contraction du volume de l’aide publique au développement du continent.
Dans un communiqué rendu public mardi, la BAD a souligné que les premiers responsables des économies africaines - ministres des Finances et gouverneurs des banques centrales, « soucieux d’apporter une contribution à la recherche de solutions à la crise financière, vont consacrer une journée entière à débattre de ses conséquences sur le continent ».
Ils ébaucheront ainsi des approches de solutions à la crise ainsi que des propositions dans le cadre d’une remise à plat du système financier international.
L’Afrique pourrait être sérieusement affectée par un fléchissement de la croissance mondial
Plusieurs questions seront abordées durant ce forum, parmi lesquelles : « Quelle sera l’ampleur de la crise actuelle sur les économies africaines ? »,
« De quelle manière l’aide publique au développement (APD) sera-t-elle affectée ? »,
« Les investissements directs étrangers (IDE) seront-ils durablement touchés ? »,
« Quels impacts aura la chute des prix des matières premières africaines ? »,
« Quelle sera la proposition africaine face à la crise ? ».
« Bien qu’à ce jour épargnée par les premiers effets de la crise, l’Afrique pourrait être sérieusement affectée par un fléchissement de la croissance mondiale et une réduction de ses exportations »,
avait averti récemment le président de la BAD, Donald Kaberuka.
« Les pressions budgétaires engendrées par les plans de sauvetage, mis en œuvre par les pays développés, risquent d’entraîner une contraction du volume de l’aide publique au développement », avait-il ajouté.
Les investissements étrangers déjà insuffisants en Afrique le seront davantage
Concernant les effets de la crise financière internationale sur les économies africaines, Jean Ping a souligné que « c’est une crise systémique très grave », avant d’ajouter que « s’il y a un manque de liquidités au plan international, les investissements étrangers déjà insuffisants en Afrique le seraient davantage, (...) [et] l’aide au développement pourrait également être affectée, puisque les pays donateurs seront confrontés à des difficultés ».
Le ralentissement de l’activité économique des pays riches, avait estimé Kaberuka, aura pour effets des licenciements, un durcissement de la politique de migration, et par voie de conséquence, la réduction drastique des transferts de fonds des travailleurs émigrés.
Arrêt d’une série de financements destinés aux secteurs vitaux des pays d’Afrique subsaharienne
La France a déjà diffusé au mois d’octobre dernier une note circulaire aux représentations africaines de la coopération française faisant état de l’arrêt d’une série de financements destinés aux secteurs vitaux des pays d’Afrique subsaharienne, au bénéfice du financement du secteur bancaire.
« Il ne faut pas imaginer que cette crise ne touchera pas l’Afrique, au contraire, la crise va nous affecter », a assuré le président de la Commission de l’UA, qui a souligné « qu’il ne faut pas que les Africains comptent sur les autres, mais c’est à nous-mêmes d’analyser la situation et de prendre les décisions qui s’imposent ».
Risham Badroudine
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