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Mondialisation
11 mai 2017
Les investisseurs ne sont pas immunisés contre les événements politiques et sociaux qui ont lieu dans les régions émergentes telles que l’Afrique.
Lors d’une table ronde organisée à Nairobi, les ministres de toute l’Afrique se sont réunis avec des investisseurs et des représentants du secteur privé afin de déterminer la meilleure façon d’aborder les obstacles en matière de risque de crédit et d’investissement, et de résoudre la problématique africaine. Les participants à la table ronde considèrent l’événement comme opportun dans la mesure où il a lieu à un moment d’incertitude géopolitique qui, selon la Banque mondiale, pourrait conduire à « des coûts d’emprunt plus élevés ou des coupes des flux de capitaux vers les marchés émergents et frontière ».
Pour les gouvernements africains, ce sont les investissements directs étrangers et l’accès au financement abordable nécessaires pour stimuler le développement, et plus particulièrement, pour combler le déficit d’infrastructure estimé à 900 milliards de dollars, qui sont en jeu. De même, le secteur privé est sur le point de perdre des milliards de dollars si les exigences en faveur d’un environnement d’investissement favorable ne sont pas correctement satisfaites.
Pendant les années fastes des deux dernières décennies, l’Afrique a connu des taux de croissance du PIB sans précédent, mais la diminution des prix des matières premières a entraîné le ralentissement de la croissance de la région d’Afrique subsaharienne, qui a atteint un taux d’1,5 % en 2016. Selon les estimations de la Banque mondiale, les exportateurs de pétrole représentent la majeure partie du ralentissement économique en raison de leur contribution à hauteur de deux tiers de la production régionale.
Dans un article de Bloomberg publié en mars 2016, les investisseurs sur les marchés émergents de certaines sociétés de premier plan ont montré un changement radical de leur tactique en raison de la fragilité globale, qu’ils considèrent comme le signe d’une faiblesse institutionnelle, de la corruption, de la mauvaise gouvernance et du manque d’efficacité. Dans ce contexte, les investisseurs suivent désormais de près les indicateurs sociaux tels que les classements de la corruption, la parité entre les sexes et la mesure dans laquelle les règles de droit sont respectées dans les marchés émergents.
« L’Afrique traverse une période de remaniement dans le cadre du nouvel ordre mondial, mais je ne pense pas que quiconque puisse miser contre sa résilience. Nous possédons toujours certaines des plus rapides croissances économiques du monde : en 2017, le Forum économique mondial a classé la Côte d’Ivoire, la Tanzanie et le Sénégal sur la liste des dix économies les plus florissantes au monde », souligne George Otieno, PDG de l’ACA.
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