
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Le Hamas a lancé une vaste opération
7 octobre 2023
« Nous sommes en guerre, il ne s’agit pas d’une simple opération ou d’un cycle de violence, mais bien d’une guerre », a déclaré le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, dans un message vidéo, affirmant : « Nous sommes en guerre et nous la gagnerons ».
Israël et la bande de Gaza sont de nouveau en guerre ce 7 octobre après le déclenchement d’une offensive militaire surprise du Hamas, qui a tiré des milliers de roquettes et infiltré des combattants en territoire israélien.
"Nous sommes en guerre, il ne s’agit pas d’une simple opération ou d’un cycle de violence, mais bien d’une guerre", a déclaré le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, dans un message vidéo. Évoquant "une attaque surprise" du Hamas, il a conclu son allocution en affirmant : "Nous sommes en guerre et nous la gagnerons".
Des combats se déroulaient au sol
En milieu de matinée, le lieutenant-colonel Richard Hecht, porte-parole de l’armée israélienne, a confirmé que des combats se déroulaient au sol entre les troupes israéliennes et les soldats du Hamas.
Selon lui, ces combats ont lieu dans les camps militaires de Zekim et de Rahim, à proximité du passage d’Erez, ainsi que dans plusieurs Kiboutz et des villes israéliennes proches de la bande de Gaza : Kfar Aza, Beri, Nahal Oz, Magen et Sderot.
À 10h34, heure locale, l’armée israélienne a annoncé le déclenchement de l’opération "Épée de feu", précisant que "des dizaines d’avions de chasse étaient en train de frapper plusieurs cibles de l’organisation terroriste du Hamas dans la bande de Gaza".
Le lieutenant-colonel Hecht a indiqué que l’armée était en état de "préparation à la guerre", confirmant que le ministre de la Défense Yoav Gallant, a approuvé la mobilisation des réservistes. "C’est une matinée sévère et difficile. Nous sommes conscients de la gravité de la situation. Nous allons réagir avec le timing qui nous semble approprié", a-t-il reconnu.
Il a précisé que l’armée "gardait un œil sur la frontière nord, avec le Liban, et sur la Judée et la Samarie (la Cisjordanie occupée, NDLR)". Deux régions où la situation est particulièrement tendue en ce moment.
Cette guerre éclate le dernier jour des fêtes juives de Souccot en Israël, le pays vivant au ralenti, de nombreux pèlerins et touristes ont afflué dans le pays en période de vacances scolaires.
Cette guerre survient 51 ans après le début de la guerre israélo-arabe de 1973 qui avait entraîné la mort de 2 600 Israéliens et au moins 9 500 morts et disparus côté arabe en trois semaines de combat.
Opération "déluge d’Al-Aqsa" du Hamas
Dans un message audio diffusé par la télévision du Hamas, le commandant de la branche armée de ce mouvement a annoncé avoir déclenché l’opération "déluge d’Al-Aqsa" contre Israël et dit avoir tiré plus de "5000 roquettes".
"Nous avons décidé de mettre fin à tous les crimes de l’occupation (Israël)", a déclaré Mohammad Deif, chef des Brigades Ezzedine al-Qassam, dans ce message.
Plus de 2000 roquettes ont été tirées depuis la bande de Gaza, des miliciens ont ouvert des brèches dans la barrière de sécurité qui entoure la bande de Gaza. Après quoi, à moto ou en pick-up, ils sont entrés en Israël. Certains sont même passés par la mer.
La situation était relativement calme dans la bande de Gaza depuis une semaine. Bien que des informations ont annoncé la mort de jeunes palestiniens tués par les forces israéliennes. Après une quinzaine de jours de tensions et de heurts à la frontière, le Hamas avait alors décidé de calmer le jeu.
Le ministre de la Défense israélien, Yoav Gallant, a indiqué que "le Hamas a fait une grave erreur ce matin en déclenchant une guerre contre l’Etat d’Israël", les soldats israéliens "sont en train de combattre l’ennemi à chaque endroit", dans un communiqué.
L’opération israélienne a été nommé "Sabres d’acier", selon l’armée. Vers 11H00 (08h00 GMT), l’armée a annoncé mener ses premières frappes aériennes sur Gaza en représailles aux tirs de roquettes.
"Des dizaines d’avions de chasse sont actuellement en train de frapper des cibles de l’organisation terroriste Hamas dans la bande de Gaza", a indiqué l’armée dans un communiqué.
En mai, Israël avait lancé une offensive contre le Jihad islamique palestinien dans la bande de Gaza, déclenchant une guerre de cinq jours entre l’armée israélienne, le Jihad islamique et d’autres groupes armés de ce territoire ayant coûté la vie à 34 Palestiniens et une Israélienne.
Plus d’un millier de roquettes avaient été tirées de la bande de Gaza vers Israël, pour la plupart interceptées par le système de défense antiaérienne israélien. Israël avait de son côté multiplié les frappes aériennes sur le petit territoire.
Le Hamas, qui a pris le pouvoir à Gaza en 2007, était resté à l’écart de ce conflit. Israël impose un strict blocus à la bande de Gaza depuis que le Hamas en a pris le contrôle.
Les Européens "condamnent fermement"
Plusieurs grandes capitales européennes et l’Ukraine ont "fermement condamné" le 7 octobre les attaques menées dans la nuit par le Hamas et exprimé leur soutien à Israël, la Russie pour sa part appelant à la "retenue". Voici les principales réactions.
La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a condamné "sans équivoque" des attaques relevant du "terrorisme dans sa forme la plus méprisable", et estimé qu’Israël avait "le droit de se défendre".
"Nous suivons avec angoisse les nouvelles en provenance d’Israël (...) Cette violence horrible doit cesser immédiatement. Le terrorisme et la violence ne résolvent rien", a souligné de son côté le chef de la diplomatie européenne, Josep Borrell. "L’UE exprime sa solidarité avec Israël dans ces moments difficiles", a-t-il ajouté.
Le président du Conseil européen, Charles Michel, a également dénoncé ces "attaques aveugles lancées contre Israël et son peuple ce matin, infligeant terreur et violence à des citoyens innocents"
De son côté, la Russie appelle à la "retenue" après ces attaques, a indiqué un diplomate russe haut placé. "Nous sommes en contact avec tout le monde maintenant. Avec les Israéliens, les Palestiniens et les Arabes", a déclaré Mikhaïl Bogdanov, vice-ministre russe des Affaires étrangères et émissaire du Kremlin pour le Proche-Orient et l’Afrique, cité par l’agence Interfax.
L’Ukraine exprime son "soutien à Israël dans son droit à de défendre lui même et son peuple" et "condamne fermement les attaques terroristes en cours contre Israël, y compris les tirs de roquettes contre la population civile à Jérusalem et à Tel Aviv", a déclaré le ministère ukrainien des Affaires étrangères.
Paris condamne "avec la plus grande fermeté les attaques terroristes en cours contre Israël et sa population" a réagi le ministère des Affaires étrangères, qui "exprime sa pleine solidarité avec Israël et les victimes de ces attaques" et "réaffirme son rejet absolu du terrorisme et son attachement à la sécurité d’Israël".
Londres condamne aussi "sans équivoque les horribles attaques du Hamas contre les civils israéliens", a réagi le ministre des Affaires étrangères James Cleverly. Londres "soutiendra toujours le droit d’Israël à se défendre", a-t-il ajouté. De son côté, Berlin "condamne fermement les attaques terroristes venant de Gaza contre Israël", a déclaré la ministre des Affaires étrangères Annalena Baerbock. Israël "a toute notre solidarité" et "le droit, garanti par le droit international, de se défendre contre le terrorisme", a-t-elle ajouté. Le Hamas "contribue à l’intensification de la violence", a estimé Annalena Baerbock.
Pour sa part, Rome "soutient le droit d’Israël à se défendre" contre "l’attaque brutale qui se déroule en Israël", a indiqué le gouvernement.
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