
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Reprise des négociations à Washington
1er août 2013, par
Entre cynisme, scepticisme, pessimisme et espoir, la ministre israélienne de la Justice, Tzipi Livni, chargée des négociations avec les Palestiniens, a dressé un constat mitigé sur ces dernières.
Le nouveau cycle des négociations israélo-palestiniennes, mis sur pied par le secrétaire d’État américain John Kerry, est fragile, après trois années de gel complet des pourparlers. Les relations sur le terrain entre les deux parties appellent à la prudence, d’autant plus que cette phase de discussion devrait durer neuf mois.
Un accord dans neuf mois
D’après les observateurs occidentaux, le secrétaire d’État John Kerry a engagé une relance du processus de paix, dans un contexte diplomatique tendu au Proche-Orient, depuis les révoltes arabes. Les deux parties « se rencontreront en Israël ou dans les territoires palestiniens pour des négociations formelles », afin de trouver « un accord final au cours des neuf prochains mois », a déclaré John Kerry mardi 30 juillet devant la presse, dont l’“Agence France Presse”, ainsi que la ministre de la Justice israélienne, Tzipi Livni, et le négociateur en chef palestinien, Saëb Erakat.
D’après les déclarations de ce dernier, « les parties sont tombées d’accord (…) pour que toutes les questions du statut final, toutes les questions fondamentales et toutes les autres soient sur la table des négociations ». Pour ce dernier, « une solution viable à deux États est la seule voie pour résoudre ce conflit. Il ne reste pas beaucoup de temps pour y arriver et il n’y a pas d’alternative ». Les Américains ont toutefois exhorté les deux parties à négocier de « bonne foi », pour un « compromis raisonnable ».
Pour Saëb Erakat, une chose est claire : « Je suis ravi que toutes les questions soient sur la table [...]. Il est temps pour les Palestiniens d’avoir leur propre État souverain ». Des propos auxquels Tzipi Livni a répondu : « Je crois que l’Histoire ne se fait pas par les cyniques. Elle se fait grâce aux réalistes qui n’ont pas peur de rêver ».
La communauté internationale, dont les États-Unis, la Russie, l’Union européenne, et les Nations unies ont appelé ensemble Israéliens et Palestiniens à ne pas faire échouer les pourparlers.
« Beaucoup de travail reste à faire »
Débutés lundi 29 juillet, les pourparlers sont restés sur des questions de procédures et d’organisation de fond. Autour de la table seront réunis la ministre Tzipi Livni et l’avocat Yitzhak Molcho, émissaire personnel de Benjamin Netanyahou, pour la délégation israélienne. Et du côté palestinien, l’universitaire Saëb Erekat, en charge depuis près de vingt ans du dossier des négociations, et l’économiste Mohammed Shtayyeh, membre du comité central du Fatah et conseiller du Président Mahmoud Abbas. John Kerry sera lui représenté par Martin Indyk, ancien ambassadeur des États-unis à deux reprises en Israël.
Le Quartette pour le Moyen-Orient (ONU, États-Unis, Russie, Union européenne) a quant à lui indiqué que « beaucoup de travail reste à faire », espérant que « la reprise des négociations sera concrète et continue, et tracera clairement la voie vers une solution à deux États, la fin du conflit, ainsi qu’une paix et une sécurité durables pour les Israéliens et les Palestiniens ».
De son côté, Laurent Fabius, ministre français des Affaires étrangères, a annoncé que François Hollande se rendrait en Israël et dans les territoires palestiniens « à la fin de l’année ». Ce dernier a précisé : « Ce qui nous a été demandé par les Américains il y a déjà trois, quatre mois, c’est “accompagnez-nous, mais ne prenez pas directement la main à notre place”. Même si nous mettons de l’espoir dans ces négociations, nous savons qu’elles seront extrêmement difficiles ».
Céline Tabou
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