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Julian Assange arbitrairement détenu par la Suède et le Royaume-Uni, estime le groupe de travail sur la détention arbitraire
6 février 2016, par
Julian Assange, fondateur de WikiLeaks, est arbitrairement détenu par la Suède et le Royaume-Uni depuis son arrestation le 7 septembre 2010. C’est le résultat d’une action des deux gouvernements contre lui. C’est ce qu’a annoncé le Groupe des Nations Unies sur la détention arbitraire hier.
Dans une déclaration publique diffusée hier, les experts du Groupe des Nations Unies sur la détention arbitraire demandent aux gouvernements britanniques et suédois la fin de la privation de liberté subie par Julian Assange, le respect de son intégrité physique et de sa liberté de mouvement, et leur demande le droit à la réparation.
WikiLeaks a permis au monde d’être informé sur des décisions politiques des États-Unis que la Maison-Blanche voulait cacher au monde et à la population des États-Unis. WikiLeaks a mis au jour les graves atteintes aux droits humains dont sont coupables les gouvernements des États-Unis qui se succèdent depuis des années. Dans notre région, ces informations ont levé le voile sur les arrangements tragiques qui ont amené la déportation du peuple des Chagos, pour que l’armée US construise à Diego Garcia sa plus grande base d’agression en dehors du territoire des États-Unis.
En septembre 2010, Julian Assange a tout d’abord été détenu à la prison de Wandworth, puis il s’est réfugié depuis 2012 dans l’ambassade d’Equateur en Grande-Bretagne. Il doit y rester confiné sous peine d’être immédiatement arrêté. En 2012, il venait en effet de perdre son recours déposé à la Cour suprême contre une extradition en Suède. Il est suspecté par la justice de ce pays d’atteinte sexuelle, sans avoir été formellement mis en accusation.
Sous le coup d’une menace de transfert vers les États-Unis où il risque d’être traité comme un espion, et donc d’être mis à mort ou jeté en prison jusqu’à la fin de ses jours, Julian Assange est dans la même situation que Bradley Mannings et Edward Snowden. Le premier était un militaire qui avait révélé des crimes de l’armée d’occupation américaine en Irak. Jugé par la justice militaire, il a été condamné à la prison à vie. Le second a donné des preuves sur la campagne générale d’espionnage menée par le gouvernement américain en utilisant les technologies de communication : internet, téléphone mobile. Traqué par les services secrets des États-Unis, il a dû trouver refuge en Russie. Non seulement, les dirigeants des États-Unis pratique l’espionnage de masse des communications privées de pays entier, mais également des chefs d’État et de gouvernement. Sont notamment visés des pays considérés par Washington comme « ami », tels que l’Allemagne.
L’arrêt du Groupe de travail des Nations-Unies sur la détention arbitraire n’est pas juridiquement contraignant. C’est malgré tout un coup porté à Barack Obama et à ses alliés. Cela met de nouveau à mal la campagne de communication qui a fait du président des États-Unis un Prix Nobel de la Paix en 2009, alors que les armées de ce pays continuent de sévir dans de nombreux pays du monde.
Après l’arrêt du Groupe de travail des Nations-Unies, Barack Obama va-t-il enfin mettre fin aux graves atteintes aux droits humains dont se rend coupable quotidiennement son gouvernement ?
M.M.
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