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4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Contribution à la valeur ajoutée du continent
4 novembre 2017
En dépit des différents retards observés, l’Afrique a connu ces dernières années un léger progrès en matière d’infrastructures, selon des experts qui ont analysé la contribution des infrastructures à la valeur ajoutée du continent.
« Malgré plusieurs difficultés, l’Afrique a connu des réussites en termes d’industrialisation », selon un document soumis à l’examen des experts dans le cadre de la dixième session du Comité de la coopération et de l’intégration régionale démarrée ce mercredi à Addis-Abeba, sous le thème « Mise en œuvre de la Zone de libre-échange continentale et des gains partagés ».
Selon les experts, ces réussites qui ont contribué à créer des millions d’emplois, incluent les industries du textile et des hautes technologies en Égypte, les industries du vêtement et de la chaussure en Éthiopie, la fabrication automobile en Afrique du Sud, la filière du diamant au Botswana, les produits du bois à valeur ajoutée au Gabon et l’industrie agro-alimentaire au Kenya.
Dans ces pays, les actifs infra-structurels, notamment les réseaux de transport, l’énergie et les technologies de l’information et de la communication, ont impulsé le processus d’industrialisation, et « les infrastructures de transport restent essentielles pour que les fabricants africains se procurent les matières premières et vendent leurs produits de manière économiquement rationnelle, fait-on remarquer.
Une part substantielle du fret intermodal en Afrique passe par les routes comme c’est le cas en Égypte où les routes représentent plus de 90 % du fret national. Les ports, ajoute-t-on, sont des éléments essentiels du commerce africain et servent de nœud dans les chaînes logistiques des voies navigables, notamment entre transport routier et maritime. Les ports de Mombasa et Dar es-Salaam sont des entrées importantes pour les pays d’Afrique de l’Est et font passer plus de 90 % du commerce africain. Les infrastructures ferroviaires, malgré leur état global décevant, participent, souligne-t-on, aux performances économiques dans certaines parties du continent.
Les infrastructures ferroviaires sud-africaines jouent un rôle commercial important en connectant les ports du pays avec les marchés à l’intérieur des terres et les marchés régionaux au Botswana, au Mozambique, en Namibie, au Swaziland et au Zimbabwe. Au Gabon, fait-on remarquer, le Trans-gabonais joue un rôle essentiel dans le transport des produits miniers et forestiers traités des centres de production aux marchés d’exportation.
L’Afrique peut également se réjouir de ce que plusieurs pays transforment localement ou régionalement leurs ressources naturelles, des produits agricoles aux minéraux, grâce à l’amélioration de l’accès à l’énergie.
En Égypte, l’industrie est la deuxième utilisatrice d’énergie après le logement, au Gabon, le complexe métallurgique de Moanda fabrique des produits à valeur ajoutée à base de manganèse, comme du silicomanganèse et du métal de manganèse, et dépend principalement de l’énergie du nouveau barrage hydroélectrique de Grand Poubara, au Botswana, les différents nœuds de la filière verticalement intégrée du diamant (du minage à la fabrication de bijoux) sont à forte intensité de capital et reposent donc fortement sur une alimentation énergétique fiable, révèle-t-on.
Dans un pays comme l’Éthiopie, où les ressources naturelles sont limitées, l’accès à l’énergie à faible coût couplé à une main-d’œuvre bon marché, a contribué à attirer les fabricants étrangers, note-t-on.
Abordant le domaine de l’économie numérique, les experts, tout en déplorant le faible taux, reconnaissent que dans certains cas, un secteur des TIC dynamique a appuyé le développement industriel.
Au Kenya, les TIC ont révolutionné la manière de faire des affaires et des inventions technologiques comme le transfert d’argent par mobile ont grandement facilité les transactions commerciales, en particulier pour les petites et moyennes entreprises et les fermiers dans la campagne kényane.
En Égypte, un secteur des technologies de l’information et de la communication dynamique a contribué à appuyer l’industrie nationale des hautes technologies. Ce pays a été classé comme l’une des meilleures destinations d’externalisation des technologies de l’information et de la communication, en seizième position mondiale et en tête des pays africains par le Global Services Location Index de 2016 d’AT Kearny.
L’Afrique du Sud n’est pas en reste avec un secteur des technologies de l’information et de la communication qui fait partie des meilleurs secteurs du pays en termes d’apport au produit intérieur brut.
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