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Alors que les gains antérieurs en matière de sécurité alimentaire sont menacés à Gaza, l’insécurité alimentaire s’aggrave en Cisjordanie, a alerté vendredi une agence des Nations Unies.
Le Programme alimentaire mondial de l’ONU (PAM) note que l’activité militaire, les déplacements et les restrictions de mouvement en Cisjordanie perturbent les marchés et limitent l’accès à la nourriture.
Ces perturbations et la détérioration des conditions économiques au cours de l’année écoulée exercent une pression sur la hausse sur les prix. « Avec l’augmentation des déplacements et du chômage, même les produits alimentaires de base sont devenus inabordables pour de nombreuses familles », a détaillé l’agence onusienne.
Des dizaines de milliers de personnes déplacées de Jénine
Face à l’aggravation de l’insécurité alimentaire en Cisjordanie, le PAM soutient plus de 190.000 personnes avec des bons mensuels en espèces et a fourni une aide ponctuelle à 16.000 personnes les plus démunies.
Ces derniers développements interviennent alors que des dizaines de milliers de personnes ont été déplacées en Cisjordanie depuis la mi-janvier. Ces personnes ont été déplacées de Jénine, de Tulkarem et des camps de réfugiés de Nur Shams, qui sont devenus presque déserts.
Ces mouvements de populations surviennent dans un contexte de poursuite des opérations de l’armée israélienne dans le nord de la Cisjordanie, qui ont commencé à Jénine le 21 janvier.
Selon le Bureau de coordination des affaires humanitaires de l’ONU (OCHA), cela en fait « la plus longue opération menée en Cisjordanie depuis le début des années 2000 ». Dans la ville de Tulkarem et ses deux camps de réfugiés (Tulkarem et Nur Shams), l’opération est en cours depuis un mois.
Menaces sur la sécurité alimentaire de Gaza
A Gaza, les agences humanitaires avertissent que la fermeture des points de passage pour l’entrée des marchandises a un impact sérieux sur la capacité de l’ONU et de ses partenaires à fournir un soutien essentiel aux personnes dans le besoin. « Plus l’arrêt de l’aide à Gaza se prolonge, plus les conséquences sur le terrain sont désastreuses », a mis en garde l’OCHA.
En attendant, les agences ont dû réduire les rations alimentaires afin de donner la priorité à l’aide au plus grand nombre possible de personnes vulnérables.
Comme il l’a fait avant le cessez-le-feu, le PAM a également réduit la quantité de colis de produits alimentaires prêts à consommer fournis aux familles afin d’augmenter ses stocks et de servir davantage de personnes dans le besoin dans l’enclave palestinienne.
Pour l’OCHA, la situation de la sécurité alimentaire pourrait se détériorer fortement si le flux d’aide à Gaza ne reprend pas aussi rapidement que possible.
Hausse des prix des denrées
Or, les prix des produits alimentaires commerciaux ont commencé à grimper depuis la fermeture des postes frontières le 2 mars. Dans certains cas, les prix des produits de base tels que la farine, le sucre et les légumes ont augmenté de plus de 200 %.
« Les commerçants ont commencé à retenir leurs marchandises en raison de l’incertitude quant à la date d’arrivée des nouveaux approvisionnements », a détaillé le PAM dans son dernier rapport de situation.
En réponse à la détérioration de la situation sur le terrain, le PAM a été en mesure de poursuivre ses activités à Gaza au cours de la première semaine de mars, en utilisant les stocks apportés pendant le cessez-le-feu. L’agence a ainsi fourni une aide alimentaire à quelque 73.000 personnes vulnérables dans l’enclave palestinienne au cours de cette période.
Le PAM n’a pas été en mesure d’acheminer des denrées alimentaires à Gaza depuis le 2 mars, en raison de la fermeture de tous les points de passage frontaliers, tant pour les fournitures humanitaires que commerciales.
Des stocks pouvant tenir deux ou trois mois de distribution à Gaza
Le PAM indique disposer actuellement de stocks de nourriture suffisants pour alimenter les cuisines et les boulangeries en activité pendant un mois, ainsi que de colis de nourriture prête à consommer pour aider 550.000 personnes pendant deux semaines.
Le PAM dispose également d’environ 63.000 tonnes de denrées alimentaires destinées à Gaza, stockées ou en transit dans la région. Cela équivaut à deux ou trois mois de distribution pour 1,1 million de personnes, en attendant l’autorisation d’entrer à Gaza.
Au cours des 42 jours du cessez-le-feu qui a débuté le 19 janvier, le PAM a livré plus de 40.000 tonnes de nourriture à Gaza et a fourni une assistance vitale à 1,3 million de personnes.
Mais pour continuer à aider 1,4 million de personnes à Gaza et en Cisjordanie, le PAM a besoin d’un financement de 265 millions de dollars pour les six prochains mois.
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