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25 juillet 2012, par
Considérée par les économistes comme l’économie la plus solide de la zone euro, l’Allemagne est aujourd’hui sous le coup d’un abaissement de sa note par l’agence de notation Moody’s. Cette dernière a annoncé avoir fait passer de « stable » à « négative » la perspective concernant les finances de l’Allemagne, mais aussi des Pays-Bas et du Luxembourg.
Ces trois pays bénéficient toujours du triple A, leur permettant d’emprunter à moindre coût sur les marchés obligataires, mais l’agence de notation financière admet une possible dégradation de cette note en fonction de l’évolution de la crise en Europe. Le président de l’Euro-groupe, Jean-Claude Juncker, et le ministre allemand de l’Économie, Wolfgang Schäuble, ont tenté de rassurer les marchés et les agences en annonçant que les pays étaient garants de la « stabilité de la zone euro ».
La 1ère économie d’Europe déstabilisée
Wolfgang Schäuble a rapidement réagi à l’annonce en assurant que l’Allemagne, première économie en Europe, continuerait d’être « l’ancre de stabilité dans la zone euro ». Le ministre a également indiqué que « L’Allemagne va tout faire avec ses partenaires pour surmonter le plus rapidement possible la crise de la dette européenne », dans son communiqué.
L’Allemagne est actuellement endettée à hauteur de 83,2% de son PIB, il lui sera difficile d’alimenter des plans de soutien à ses voisins du Sud sans mettre ses propres finances en danger, ont expliqué les économistes. En conservant des perspectives de confiance, Moody’s espère dissuader le pays à s’engager dans des plans d’aides massifs comme celui consenti par la zone euro à l’Espagne d’un montant de 100 milliards d’euros. Dans son communiqué, l’agence estime que même si la Grèce ne sort de la zone euro et que l’impact de la crise soit minime, « il existe une probabilité de plus en plus forte qu’une aide à d’autres États de la zone euro, notamment l’Espagne et l’Italie, soit requise ». Il s’agit pour elle d’un « fardeau » qui pèserait plus « lourdement » sur les États dont on estime qu’ils ont la « plus grande capacité à absorber le coût de cette aide », Allemagne en tête.
Des perspectives moroses
D’après Moody’s, la forte probabilité de voir la Grèce quitter la zone euro « déclencherait une série de chocs dans le secteur financier (...) que les responsables politiques ne pourront qu’amortir à un coût très élevé ». Ces risques sur les finances publiques allemandes sont le résultat d’une croissance économique à l’arrêt de la zone euro, en effet, la croissance du PIB dans la zone euro devrait être de -0,3% en 2012 et de 0,9% en 2013, d’après les rectifications des perspectives économiques du FMI.
L’agence a indiqué que, d’ici la fin du troisième trimestre, une évaluation sera faite sur les implications du développement des notes “AAA” de la France et de l’Autriche, dont la perspective avait été abaissée en février. « Plus spécifiquement, Moody’s examinera si ces perspectives sont toujours appropriées ou si une revue plus approfondie des notes est nécessaire », a notifié le communiqué de l’agence.
En ce qui concerne la France, en janvier 2012, l’agence de notation Standard & Poor’s avait retiré à la France et à l’Autriche leur note “AAA”, qui est la plus haute possible et y a attaché une perspective négative. De son côté, la troisième agence, Fitch Ratings a classé la France “AAA”, avec une perspective négative.
Céline Tabou
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