
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
L’Union européenne et l’ONU sur écoute
1er juillet 2013, par
Le programme de surveillance PRISM du gouvernement américain aurait réellement espionné des bureaux de l’Union européenne, d’après les révélations faites par le quotidien allemand “Der Spiegel”.
Depuis juin 2013, PRISM est le sujet de tension entre les États-Unis et l’Union européenne. Révélé par Edward Snowden, ce programme espionnait sur son sol et à l’étranger. Le “Der Spiegel” s’est procuré des documents confidentiels, grâce à l’ancien consultant américain de la NSA, Edward Snowden. Ce dernier a rendu publiques, en juin, des informations confidentielles de l’Agence Nationale de Sécurité (NSA) concernant la captation de métadonnées, d’appels téléphoniques aux États-Unis, ainsi que l’utilisation par le gouvernement d’un système d’écoute et de surveillance sur internet, appelé PRISM.
Les Européens exigent des explications
Selon les révélations du “Der Spiegel”, des institutions de l’UE auraient bien été visées par PRISM. Si ces annonces s’avèrent vraies, elles pourraient créer des tensions dans les relations transatlantiques. La Commission européenne a expliqué dans un communiqué de presse, dimanche 30 juin, que « Nous avons pris contact immédiatement avec les autorités américaines à Washington et à Bruxelles et les avons mis face aux informations de presse. Ils nous ont dit qu’ils vérifiaient l’exactitude des informations publiées hier et qu’ils reviendraient vers nous ».
La ministre allemande de la Justice, Sabine Leutheusser Schnarrenbergern, a indiqué dans la presse qu’il « faut que du côté américain, on nous explique immédiatement et en détail si ces informations de presse à propos d’écoutes clandestines totalement disproportionnées par les États-Unis dans l’Union européenne sont exactes ou non ».
Les avis sont unanimes, le gouvernement américain doit donner des explications sur la véracité des révélations du “Der Spiegel”.
De son côté, le président du Parlement européen, Martin Schulz, a estimé samedi 29 juin que « si cela se confirme, il s’agit d’un immense scandale. Cela nuirait considérablement aux relations entre l’UE et les États-Unis ».
Tentative d’apaisement de Barack Obama en vain
En visite en Afrique du Sud, le président américain Barack Obama et le conseiller adjoint à la Sécurité nationale, Ben Rhodes, ont réaffirmé que les Européens étaient « parmi les alliés les plus proches » des États-Unis en matière de renseignement. Malgré ces courtes déclarations, la tension monte en Europe, où un document daté de septembre 2010, classé « strictement confidentiel » par la NSA, explique comment elle espionnait la représentation diplomatique de l’Union européenne à Washington, a expliqué l’“Agence France Presse”.
Des micros ont été installés et les réseaux informatiques étaient infiltrés permettant à l’agence nationale de sécurité de lire les courriers électroniques et les documents internes. D’ailleurs, des représentants de l’UE à l’ONU ont aussi été surveillés et même désignés comme des « cibles à attaquer » par les Américains. Cette nouvelle n’est pas la première. En 2008, les experts en sécurité de l’UE avaient découvert un système d’écoutes sur le réseau téléphonique et internet du bâtiment Justus-Lipsius, principal siège du Conseil de l’Union européenne, a expliqué l’“AFP”.
Cinq ans plutôt, l’UE avait également découvert un système d’écoutes téléphoniques des bureaux de plusieurs pays, dont la France, l’Allemagne, l’Espagne, le Royaume-Uni, l’Autriche et l’Italie. Cette situation pourrait sérieusement entacher les relations entre l’Union européenne et les États-Unis, car le ministre luxembourgeois des Affaires étrangères, Jean Asselborn, a estimé que « si ces informations sont bel et bien authentiques, c’est écœurant. Les États-Unis feraient mieux de surveiller leurs propres services secrets que d’espionner leurs alliés. Nous devons avoir maintenant la garantie au plus haut niveau que cela cesse tout de suite ».
Céline Tabou
Lo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Le calendrier scolaire élaboré par le Rectorat pour les 3 prochaines années est désormais connu et fait débat. Pour cause, à l’exception de (…)
Sur proposition de Gérard COTELLON, directeur général de l’ARS La Réunion, Patrice LATRON, préfet de La Réunion, a décidé le retour au niveau 2 du (…)
Le Conseil départemental a décerné, le vendredi 27 juin, les prix « Thérèse Baillif » et « Célimène » lors d’une cérémonie organisée dans (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
Mé dam zé méssyé, la sossyété,dsi la késtyonn fors néna la fors natirèl, sak wi gingn an néssan épi an grandissan korèktoman. Mwin lé sirésèrtin (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Le Président des Etats-Unis, Donald Trump a ordonné le bombardement de trois sites nucléaires en Iran, dans la nuit du 21 juin 2025. Dans une (…)
Les élus de Guadeloupe ont adopté des résolutions « sur la fusion des deux collectivités, sur les compétences et l’autonomie fiscale », le 17 juin (…)
Des manifestants, réunis le 23 juin devant les institutions européennes, ont demandé la suspension de l’accord d’association liant l’UE à Israël. (…)
Normalien et énarque, chercheur en philosophie politique, Bruno Guigue est professeur invité à l’Université normale de la Chine du Sud (Canton) et (…)
L’État poursuit son engagement en faveur de la transition énergétique et de la décarbonation de l’électricité à La Réunion. À l’issue d’un appel à (…)
Messages
1er juillet 2013, 13:12, par hugo
HIER C ETAIT DES TUEURS D INDIENS ET AUJOURD HUI CE SONT DES ESPPIONS. ILS NE VONT PAS S AMELIORER