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Embargo occidental contre l’Iran
16 février 2012, par
Le gel des transactions avec les établissements financiers iraniens imposé par les États-Unis et l’Union européenne risque d’avoir un impact considérable sur la population iranienne. La Chine et l’Inde ont manifesté leur intention de s’impliquer dans la recherche d’une solution à la crise en privilégiant la voie diplomatique. Malgré l’embargo occidental, l’Inde continuera à acheter le pétrole iranien qui sera réglé en monnaie indienne à hauteur de 45%. Rappelons que la crise économique est l’occasion de repenser totalement l’économie mondiale. C’est le modèle économique actuel dans sa globalité qu’il faut revoir.
Les pays de l’Union européenne se sont mis d’accord le 23 janvier pour imposer un embargo pétrolier graduel sans précédent contre l’Iran ainsi que pour sanctionner sa banque centrale afin de l’assécher. Ce gel des transactions avec les établissements financiers iraniens imposé par les États-Unis et l’Union européenne complique l’achat par Téhéran de produits alimentaires de première nécessité comme les céréales, l’huile ou le thé, et frappe de plein fouet la population iranienne.
Selon des courtiers en matières premières, l’Iran proposerait désormais à ses fournisseurs de les payer en lingots d’or entreposés à l’étranger ou en chargements de pétrole afin de contourner les sanctions. Malgré cela, la population iranienne risque de se retrouver en pénurie alimentaire.
Dans ce contexte de tensions diplomatiques, le Ministère chinois des Affaires étrangères a annoncé l’envoi d’un émissaire en Iran. Ma Zhaoxu, ministre adjoint aux Affaires étrangères, a réaffirmé la volonté de Pékin de régler le contentieux par la voie diplomatique. « Nous privilégions constamment le dialogue et la coopération comme le seul canal adapté », a déclaré le porte-parole du ministère, Liu Weimin, lors d’un point de presse.
De son côté, Manmohan Singh, le Premier ministre indien qui s’exprimait lors de la même conférence de presse, a déclaré que la question iranienne « pouvait et devait être résolue en donnant le maximum de latitude à la diplomatie ».
L’Inde, troisième économie d’Asie, n’a pas caché son opposition aux nouvelles sanctions financières imposées à l’Iran.
Avec 45% de son riz importé de l’étranger, l’Iran dépend fortement de ces importations. Les récentes perturbations dans son approvisionnement devraient faire s’envoler l’inflation, déjà élevée.
L’Inde continue d’ailleurs à acheter du pétrole iranien malgré l’embargo imposé par l’Union européenne et les États-Unis, et règle sa facture énergétique dans sa propre monnaie, la roupie, a-t-elle annoncé.
Comme la plupart des grands pays, l’Inde réglait ses achats de pétrole en dollars, monnaie dans laquelle sont libellés nombre de prix de matières premières, via des banques turques.
Face aux sanctions occidentales contre l’Iran, cette option va devenir de plus en plus compliquée, ont indiqué de hauts responsables indiens.
Nous avons examiné d’autres options de paiement et l’Iran a accepté de recevoir 45% des versements pétroliers de l’Inde en roupies, qui seront transférés via une banque indienne hors de portée des sanctions américaines et européennes, écrit le quotidien “The Indian Express”.
L’Iran est le deuxième plus important fournisseur de pétrole à l’Inde après l’Arabie saoudite, assurant environ 12% des besoins de ce pays en plein développement. L’Inde est aussi l’un des principaux clients du pétrole iranien avec environ 400.000 de barils de pétrole achetés par jour.
Rappelons que la crise économique est l’occasion de repenser totalement l’économie mondiale. C’est le modèle économique actuel dans sa globalité qu’il faut revoir. La Chine et l’Inde avaient proposé de réformer le système monétaire international par la mise en place d’une monnaie internationale.
Elaborer un modèle capable de satisfaire les intérêts des 2/3 de la société mondiale, tel doit être l’objectif si le monde veut réellement sortir de la crise actuelle qui persiste.
Il est nécessaire de remettre en cause le modèle actuel encore dominé par les Occidentaux et aller vers une société plus juste et fraternelle.
Sanjiv Dinama
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