
In objéktif pou trapé : In dévlopman korèk …sansa sé in bilan négatif !
26 juin, parMézami, ni sava rante dann in pèryode zélékssion ané pou ané.Nora zélékssion l’ané 2026, nora zélékssion l’ané 2027 é nora ankor l’ané 2028… Bann (…)
Crise en Europe
1er mars 2013, par
L’impasse politique en Italie continue d’inquiéter les marchés, pouvant entrainer une dégradation de la situation économique et financière au sein de la zone euro. Depuis la fin des élections législatives, le doute persiste, car aucune majorité n’est apparue pour former un gouvernement stable.
Le centre-gauche de Pier Luigi Bersani tente de trouver un accord avec le mouvement anti système de Beppe Grillo, afin d’être majoritaire au Sénat, mais l’ancien humoriste ne souhaite pas former d’alliance. Cette absence de gouvernement laisse trainer des doutes sur l’avenir de la zone euro.
Tension économique nationale
De nombreux analystes cités par les agences de presse ont expliqué que « sans gouvernement stable, on ne peut espérer l’intervention de la Banque centrale européenne (BCE) sur le marché de la dette italienne. Cela signifie à terme, une envolée des coûts de financement pour l’Italie ». Dans un tel contexte, les taux d’emprunt de l’Italie se sont tendus, avec des taux à dix ans en nette hausse par rapport à la dernière émission de janvier dernier. Ces derniers sont passés de 4,17% à 4,83%. Il en a été de même avec les taux à court terme, qui sont passés de 2,94% à 3,59%. Le 27 février, le Trésor italien a levé 6,5 milliards d’euros, à moyen et long terme pour faire face à un défaut de paiement.
L’arrêt des réformes en Italie, lancée par Mario Monti pourrait déstabiliser le pays et son économie. L’Italie possède une dette publique de quelque 2.000 milliards d’euros, soit près de 127% de son produit intérieur brut (PIB). Le gouvernement avait mis en place de nombreuses réformes notamment du régime des retraites, en repoussant l’âge légal à 66 ans, et la très controversée réforme du marché du travail en introduisant plus de flexibilité. Pour des raisons budgétaires, Mario Monti avait également lancé une réforme des collectivités territoriales, prévoyant la suppression de près d’un tiers des provinces italiennes.
Menace sur la zone euro ?
En dépit des craintes des marchés, le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, s’est dit confiant dans la stabilité politique de l’Italie, dans l’intérêt de l’Italie et de l’Europe tout entière, a cité l’Agence France Presse. En marge du prochain sommet européen des 14 et 15 mars à Bruxelles, Manuel Barroso et Mario Monti, président sortant de l’Italie, ont échangé sur « la coordination des politiques de l’UE en matière économique, budgétaire et d’emploi ». Cependant, les deux hommes dans un communiqué commun ont expliqué que la crise n’était pas encore terminée et l’effort ne devait pas être relâché. Ces derniers ont indiqué que le gouvernement devait poursuivre les efforts budgétaires et les réformes afin de créer la croissance et les emplois et d’accroître la compétitivité.
Du côté français, Jérôme Cahuzac, le ministre du Budget a estimé que « l’incertitude politique qui règne en Italie après les élections parlementaires ne risque pas de causer une nouvelle crise de l’euro », sur RTL, mercredi 27 février. Ce dernier a commenté le vote punitif des Italiens, estimant qu’en « tout cas c’est la perception que les Italiens semblent en avoir, un projet punitif, répressif incarné par Mario Monti ». Pour le ministre, « les pays qui se sont trop endettés — l’Italie, l’Espagne, bien sûr la France (...) — [doivent] procéder à l’ajustement budgétaire, mais il faut le faire avec discernement, en comprenant ce que sont les efforts que l’on demande à nos concitoyens ».
A contrario pour Patrice Gautry, Chef économiste du groupe Union Bancaire Privée, interrogé par “L’Express”, « les taux d’emprunt à long terme du pays restent inférieurs à 5%, les marchés n’ont pas totalement perdu leur confiance retrouvée dans les dettes des pays de la zone euro. Mais le risque d’une dégradation existe bel et bien. L’Italie pourrait être le grain de sable qui replonge la zone euro dans la tourmente, comme l’a été l’Espagne en 2012 et la Grèce avant elle ». Face au ralentissement des réformes « cela pourrait entraîner une dégradation des fondamentaux italiens, et là la panique pourrait s’emparer des marchés ».
Céline Tabou
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