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Unanimité du Conseil de Sécurité
8 janvier 2016
Le Secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, et le Conseil de sécurité ont condamné mercredi l’essai nucléaire annoncé le même jour par la République populaire démocratique de Corée et le Conseil a annoncé son intention de prendre de nouvelles sanctions à l’égard de la RPDC. Cette condamnation est donc également partagée par les membres permanents du Conseil de Sécurité : Chine, Russie, Grande-Bretagne, France et États-Unis.
« L’essai nucléaire souterrain annoncé par la RPDC le 6 janvier est profondément troublant », a dit M. Ban dans une déclaration à la presse. « Ce test viole une fois de plus nombre de résolutions du Conseil de sécurité en dépit de l’appel unifié lancé par la communauté internationale pour que de telles activités cessent. Il représente aussi une grave contravention aux normes internationales contre les essais nucléaires », a-t-il ajouté.
« Cet acte est profondément déstabilisant pour la sécurité régionale et sape sérieusement les efforts internationaux de non-prolifération. Je le condamne sans équivoque », a poursuivi le Secrétaire général. « J’exige que la RPDC renonce à toute nouvelle activité nucléaire et qu’elle honore toutes ses obligations internationales en ce qui concerne une dénucléarisation vérifiable », a-t-il encore dit.
« Nous suivons et évaluons l’évolution de la situation en coordination étroite avec les organisations internationales, notamment l’Organisation du Traité d’interdiction complète des essais nucléaires, et les autres parties concernées », a conclu M. Ban.
M . Ban s’exprimait au siège de l’ONU à New York, avant que le Conseil de sécurité ne se réunisse pour des consultations à huis clos afin de discuter de la situation en Corée du Nord.
Dans une déclaration à la presse à l’issue de ces consultations, les membres du Conseil ont « fermement condamné » cet essai qui, estiment-ils, « représente une violation claire des résolutions 1718 (2006), 1874 (2009), 2087 (2013) et 2094 (2013) du Conseil et du régime de non prolifération nucléaire, et a pour conséquence qu’une menace claire pour la paix et la sécurité internationale continue d’exister ».
Les membres du Conseil ont également rappelé qu’ils avaient précédemment exprimé leur détermination à prendre « de nouvelles mesures significatives » dans le cas où la RPDC procèderait à un nouvel essai nucléaire. « Conformément à cet engagement et compte tenu de la gravité de cette violation, les membres du Conseil de sécurité vont commencer à travailler immédiatement sur de telles mesures dans le cadre d’une nouvelle résolution », ont-ils ajouté.
Le Président de l’Assemblée générale des Nations Unies, Mogens Lykketoft, s’est dit également « consterné et déçu par les nouvelles d’un essai nucléaire souterrain par la République populaire démocratique de Corée ». « Ces activités sont en violation de nombreuses résolutions du Conseil de sécurité des Nations unies et ont le potentiel de déstabiliser la situation dans la péninsule coréenne », a-t-il ajouté.
Plus tôt dans la journée, le chef de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), Yukiya Amano, a déclaré que si la réalité de cet essai de bombe à hydrogène annoncé par la Corée du Nord était confirmée, il constituerait une violation claire des résolutions du Conseil de sécurité et serait « profondément regrettable ».
M. Amano a exhorté la RPDC à « respecter pleinement toutes les résolutions pertinentes du Conseil de sécurité des Nations Unies et de l’AIEA », dans une déclaration à la presse à Vienne.
Il a ajouté que l’AIEA restait prête à contribuer à la résolution pacifique du problème nucléaire de la RPDC « en reprenant ses activités de vérification des installations nucléaires de la RPDC une fois qu’un accord politique aura été atteint entre les pays concernés ».
Mercredi, l’Organisation du Traité d’interdiction complète des essais nucléaires (CTBT), qui a été adopté en 1996 par l’Assemblée générale de l’ONU, a déclaré que ses experts « analysaient l’événement afin d’en savoir davantage sur sa nature exacte ».
« S’il était confirmé qu’il s’agit d’un essai nucléaire, cet acte constituerait une violation de la norme universellement acceptée contre les essais nucléaires ; une norme qui a été respectée par 183 pays depuis 1996 », a affirmé le Secrétaire exécutif de l’Organisation du CTBT, Lassina Zerbo, dans une déclaration.
« Il constituerait également une grave menace pour la paix et la sécurité internationale », a-t-il poursuivi. « J’exhorte la RPDC à s’abstenir de procéder à de nouveaux essais nucléaires et à rejoindre les 183 Etats signataires du Traité d’interdiction complète des essais nucléaires ».
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