
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Sommet des chefs d’Etat et de gouvernement de l’UE
21 mars 2014, par
Le volet politique sur l’accord d’association entre l’Ukraine et l’Union Européenne a été signé, vendredi 21 mars, à Bruxelles, lors du sommet européen. Cette signature représente un soutien fort à l’Ukraine, alors que la Russie était opposée à cette associations, dès le début de la crise fin 2013.
Les 28 chefs d’Etat et de gouvernement de l’UE ont affirmé que « l’Union européenne soutient les Ukrainiens et leur droit de décider de leur propre avenir », avant de recevoir le Premier ministre ukrainien Arseni Iatseniouk. Ces derniers ont d’ailleurs durci les sanctions contre des ressortissants russes et ukrainiens.
En novembre 2013, le président ukrainien Viktor Ianoukovitch avait rejeté l’accord entre l’UE et l’Ukraine, en raison de pressions de Moscou. Cette décision avait alors poussé des millions d’Ukrainiens dans la rue, afin de protester contre les présidents ukrainien et russe. Par la suite, la crise s’est amplifiée, pour aboutir à la chute de Viktor Ianoukovitch puis au rattachement de la Crimée à la Russie.
Seul l’aspect politique a été conclu lors de ce sommet, les accords commerciaux devraient suivre après l’élection du 25 mai en Ukraine et le lancement de réformes économiques demandées par le FMI. Cet aspect économie comprend une vaste zone de libre échange entre les deux parties.
Toutefois, cet accord d’association ne signifie pas un ralliement de l’Ukraine au 28 de l’Union Européenne. Un fait inédit dans l’histoire de l’Union Européenne, il devrait en être de même pour la Moldavie et la Géorgie, qui devraient prochainement signer un accord à l’identique de celui de l’Ukraine.
A l’issue de la signature, Arseni Iatseniouk a appelé l’UE à prendre de « réelles » sanctions économiques contre la Russie, car c’est le « meilleur moyen de (la) contenir ». Cependant, de nombreux pays européens, l’Allemagne en tête, commercent avec Moscou et pourraient en cas de sanction voir leurs échanges s’ébranler voir leurs économies menacer.
Pour Arseni Iatseniouk, « Dieu sait quel est l’objectif final pour la Russie (...) A-t-elle décidé d’imposer un nouvel ordre mondial ? ». Raison pour laquelle Bruxelles a décidé d’accélérer les accords avec la Moldavie et la Géorgie, coupant court à la volonté de Vladimir Poutine, président russe, de construire une « Union eurasiatique ».
Au même moment, Moscou finalise le rattachement de la Crimée, après que celui-ci ait été voté à l’unanimité, vendredi, par la chambre haute du parlement russe, et par la chambre basse, la veille. Face à la position ferme de Vladimir Poutine, les Etats-Unis et l’UE ont décidé jeudi de les sanctions symboliques contre des responsables russes ou ukrainiens pro-russes.
Washington a directement ciblé des proches collaborateurs du président Vladimir Poutine, dont Sergueï Ivanov, chef de cabinet, ainsi que 20 personnes supplémentaires à la liste des onze dont les avoirs ont déjà été gelés. De son côté, Bruxelles a ajouté 12 Russes et Ukrainiens pro-russes à leur liste, portant à 33 le nombre de personnes ciblées. Autre sanction de l’Union Européenne, l’annulation du prochain sommet UE-Russie prévu en juin à Sotchi, ainsi que de réunions bilatérales entre leur pays et Moscou.
La Russie a publié sa propre liste de sanctions visant trois conseillers de Barack Obama et des parlementaires, dont le sénateur conservateur John McCain. « Qu’il n’y ait aucun doute : à chaque acte hostile nous répondrons de manière adéquate », a annoncé à la presse le ministère russe des Affaires étrangères. Ce dernier a averti que les tentatives d’isoler la Russie étaient « une voie sans issue ».
Face à de possibles sanctions économiques, les agences d’évaluation Standard & Poor’s et Fitch ont annoncé avoir abaissé la note de solvabilité de la Russie à « négative ». Ces derniers craignent que les banques et les investisseurs américains et européens puissent être réticents à prêter à la Russie. Cela pourrait alors ralentir l’économie russe et « le secteur privé pourrait avoir besoin d’aide publique », a expliqué Fitch.
De son côté, le gouvernement japonais a décidé de proposer une aide de quelque 710 millions d’euros sous diverses formes à Kiev. Une aide bienvenue car l’Ukraine doit composer avec un gouvernement de transition et des difficultés économiques et financières importantes, particulièrement après l’annulation par la Russie des aides dans le domaine énergétique.
Moscou a annoncé vendredi 21 mars la suppression du rabais qu’elle accordait à l’Ukraine sur le prix du gaz en échange de l’utilisation d’une base navale en Crimée. Le prix passe désormais à 480 dollars les 1.000 m3 de gaz, un des prix les plus élevés d’Europe, selon la presse économique russe, citée par l’AFP.
Céline Tabou
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