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Colonisation en Algérie
30 avril 2008
L’ambassadeur de France en Algérie, Bernard Bajolet, a déclaré dimanche à Guelma (est) que le « temps de la dénégation » des massacres perpétrés par la colonisation était « terminé ». Pour Benjamin Stora, historien spécialiste de l’Algérie et auteur de « Appelés en guerre d’Algérie » (Editions Gallimard, La Découverte, 2008), il s’agit d’une déclaration importante. Interview.
En quoi les propos de Bernard Bajolet marquent-ils une nouvelle étape dans les rapports entre la France et l’Algérie ?
- C’est la première fois que la France reconnaît officiellement sa responsabilité. Non seulement l’ambassadeur a qualifié les faits, en parlant de « massacres », mais il a reconnu « la très lourde responsabilité des autorités françaises de l’époque dans ce déchaînement de folie meurtrière (qui a fait) des milliers de victimes innocentes, presque toutes algériennes ». Son prédécesseur, Hubert Colin de Verdière, avait seulement évoqué en 2005 une « tragédie inexcusable ».
Comment expliquer ce tournant ?
- On observe depuis le discours de Nicolas Sarkozy à Constantine en décembre dernier une véritable volonté de tourner la page en vue de construire l’Union méditerranéenne, dont le premier sommet est prévu le 13 juillet à Paris. Ce n’est d’ailleurs peut-être pas un hasard si cette déclaration intervient au moment où Nicolas Sarkozy est en Tunisie. L’Algérie, avec ses 1.200 km de frontières le long de la Méditerranée, est un partenaire économique et politique incontournable de cette Union.
La France va-t-elle finir par présenter des excuses, comme le souhaiterait l’Algérie ?
- Pas forcément. La France est prête à la reconnaissance, pas à la repentance. La presse algérienne l’a regretté ce lundi. Les propos de Bernard Bajolet ont toutefois fait la une des journaux, ce qui prouve leur portée. Reconnaître la blessure de l’autre, c’est déjà une étape importante.
Propos recueillis par Catherine Fournier (20 Minutes)
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