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Crise en Europe
27 janvier 2012, par
L’économie britannique s’est contractée de 0,2% au dernier trimestre 2011 et les perspectives restent pessimistes pour l’année à venir. Cette annonce montre que la zone euro n’est pas la seule à faire face à une crise économique et financière sans précédent.
Depuis la récession de 2008-2009, le pays n’a pas pu relancer son économie aussi rapidement que voulu, le chômage a grimpé ces derniers mois pour atteindre en novembre 2011 son plus haut niveau depuis 17 ans, de 8,4%. Selon les chiffres publiés mercredi 25 janvier par l’Office national de la statistique, le Produit intérieur brut (PIB) britannique s’est contracté de 0,2% sur la période octobre-décembre 2011, la stagnation du secteur des services n’a pas permis de compenser le recul de la production industrielle et de la construction.
Mauvaise gestion de la politique publique
Depuis le début de la crise européenne, David Cameron et George Osborne donnaient des leçons d’économie à l’Europe, aux dirigeants de la zone euro. Le Premier ministre et chancelier britannique arguait que la zone euro se trompait et confondait les priorités économiques et politiques.
Aujourd’hui, le ministre des Finances, George Osborne, reconnait que le pays a une importante dette publique depuis une dizaine d’années, mais ce dernier pointe du doigt l’impact de la crise de la dette souveraine des pays de la zone euro, avec lesquels la Grande-Bretagne réalise près de la moitié de ses échanges. « Les problèmes économiques du Royaume-Uni ont été aggravés par la situation dans la zone euro, par une crise qui se déroule à nos portes », a-t-il déclaré à l’“Agence France Presse”.
Pour lutter contre un déficit public parmi les plus élevés en Europe et contenir une dette qui vient de dépasser le seuil symbolique des 1.000 milliards de livres, soit 1.200 milliards d’euros, « il n’y a pas d’autre voie possible » que de « ne pas dévier » du plan d’austérité. Celui-ci, à l’instar des plans de rigueur imposés dans les pays de la zone euro, sera destiné à réduire le déficit public et non relancer la croissance et l’emploi.
Un plan d’austérité « trop fort, trop rapide »
Le gouvernement fustige la crise de l’euro, évoquée comme l’une des causes principales des difficultés économiques et financières du pays. En réponse, l’opposition accuse la politique gouvernementale de réduction des dépenses jugée « trop forte, trop rapide », accentuant la crise et les difficultés des ménages. Appliqué depuis janvier 2011, le plan d’austérité aura permis une faible hausse du PIB de 0,7%. Cela s’expliquerait, selon certains économistes, par la suppression de 300.000 emplois dans la fonction publique, soit trois fois plus que ce que le secteur privé n’en a créé.
Les économistes pointent du doigt l’augmentation de l’inflation. En effet, à une certaine période, celle-ci a dépassé les 5%, avant de ralentir à 4,5%. La hausse des prix vient notamment de la majoration de la TVA, ainsi que de l’augmentation du prix des matières premières, gaz et pétrole en tête. Au moment où les salaires sont quasiment gelés, les Britanniques connaissent une réduction de leur pouvoir d’achat comme ils n’en ont pas connu depuis la fin des années 1970. Pour la plupart des économistes, cités par “Reuters”, la Banque centrale britannique devrait injecter de nouvelles liquidités dans l’économie au mois de février. Cette injection avoisine les 50 milliards de livres, bien que le gouvernement ait les mains liées par sa promesse de supprimer le déficit budgétaire sur les cinq prochaines années.
Céline Tabou
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