
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Crise en Europe
12 février 2014, par
Le premier ministre grec, Antonis Samaras, a affirmé dans la presse allemande que son pays n’avait pas besoin d’un nouveau plan de sauvetage, car « nous atteignons notre objectif avec l’actuel plan d’aide, et cela fonctionne ».
Premier pays européen placé sous assistance financière de la troïka (UE-BCE-FMI) en 2010, la Grèce a obtenu 240 milliards d’euros pour éviter la faillite. En contrepartie de cette aide des mesures drastiques ont été obligé, bien que celles-ci pèsent lourdement sur le quotidien de la population.
Face à la colère de la population, Le Premier ministre grec, Antonis Samaras a affirmé ne pas avoir besoin d’une nouvelle aide, rejetant tout nouveau « mémorandum » sur un soutien financier. Cependant, Athènes demande un allégement du poids de sa dette, suite aux engagements pris en 2012.
Ce dernier a expliqué qu’il y a un accord avec l’Union Européenne qui « prévoit que si nous atteignons nos objectifs, parmi lesquels un excédent budgétaire primaire, nous pouvons compter sur un allégement de notre dette, par exemple sous la forme de maturités plus longues et de taux plus bas ». Malgré le point de vue positif du Premier ministre, « il n’y a pas encore de chiffres fiables sur le déficit et le niveau de la dette pour 2013 », a expliqué le directeur général d’Eurostat, Walter Radermacher.
De son côté, le ministre allemand des finances, Wolfgang Schäuble, a expliqué sur la chaîne allemande de télévision ARD, que concernant l’allongement de la maturité des emprunts grecs et d’une éventuelle baisse de leur taux, cela « devra être abordée dans le détail en milieu d’année ». Car « s’il y a un besoin financier particulier, et je suppose qu’il y a un certain besoin financier, nous serons prêts à parler de mesures supplémentaires, si la Grèce a d’ici là répondu aux exigences ». Dur par le passé, le ministre allemand a salué les « gros progrès » faits par la Grèce, ajoutant qu’elle n’était pas tirée d’affaires et que « concernant les réformes structurelles, la Grèce n’a pas encore fait tout ce que la troïka estime nécessaire ».
Le pays est privé des marchés pour des emprunts à long ou à moyen terme depuis la crise de la dette en 2010 et l’aide demandée à l’UE-FMI. La Grèce ne peut émettre que des bons du Trésor à court terme, raison pour laquelle le pays a levé mardi 10 février, 1,3 milliard d’euros en bons du Trésor à trois mois, à un taux de 3,60%, a annoncé l’Agence grecque de la dette (PDMA).
Selon l’agence, si la Grèce assure la réalisation d’un excédent budgétaire primaire (hors dette) sur l’année 2013 et s’il renoue avec la croissance après six ans consécutifs de récession, le gouvernement pourrait revenir sur les marchés pour des emprunts à long et moyen terme d’ici la fin 2014. Pour le ministre grec des Finances Yannis Stournaras a indiqué que son pays pourrait émettre des obligations entre 1,5 et 2 milliards d’euros sur cinq ans.
Le pays négocie avec ses créanciers (UE, BCE, FMI) pour continuer le versement des prêts, mais la Grèce est en quête d’une solution pour couvrir ses besoins financiers après la fin du second programme d’aide UE-FMI en juillet et réduire ainsi sa dette publique énorme, de près de 175% du PIB.
Céline Tabou
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