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Irak
9 avril 2003
En l’absence de manifestations de rues, de prises de position fracassantes dans la presse locale et de prêche enflammées dans les mosquées, à quelques exceptions près, le visiteur de passage dans les îles Comores pourrait croire à tort que la guerre américano-irakienne n’intéresse guère la population. En vérité, les Comoriens vivent cette épreuve dans la démesure et dans la douleur. Chaque revers que subit les Américains, si minime soit-il, est salué dans les cafés, les "bangwé" (places publiques) comme autant de grosses défaites infligées à la superpuissance militaire mondiale.
On perçoit à Moroni et surtout dans l’arrière pays comme une certaine admiration à l’égard de l’Irak et son peuple qui font face aussi courageusement à la plus grande force militaire du monde, engageant stoïquement un combat qu’ils savent perdu d’avance. Et les Comoriens ont évidemment du mal à croire que les États-Unis se sont engagés dans cette guerre pour débarrasser les Irakiens d’un dictateur et pour instaurer la démocratie.
Certains font carrément appel à l’irrationnel. C’est ainsi que la tempête de sable qui avait un moment ralenti la progression américaine vers Bagdad relèverait de la protection d’un saint homme des temps anciens : le Cheikh Abdoul Kadir Djelane, fondateur de la confrérie kadria. Il était originaire d’Irak et n’aurait pas pu rester les bras croisés devant la malheur qui frappe son pays, font remarquer certains Comoriens.
Un professeur de philosophie qualifie le conflit irakien de « guerre de civilisations », estimant que « la suprématie occidentale ne supporte pas la moindre volonté en dehors de sa zone géographique ». « Moi, j’ai peur. Si maintenant aucune règle de droit, aucune instance internationale ne peuvent empêcher les puissants d’anéantir les faibles, il faut pleurer pour nous les petits pays. Combien de petits pays pourront demain affronter les grandes puissances qui convoiteraient leurs richesses ? C’est pourquoi, je dois remercier Dieu à qui il a plu de ne pas enfouir du pétrole dans le sous sous-sol de mon pays », déclare un ancien député.
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