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Bilan 2017 selon la Banque mondiale -2-
16 février 2018
La Banque mondiale a publié un bilan en 12 points de l’évolution de l’économie mondiale l’an passé. La première partie a rappelé l’impact de deux phénomènes qui ne sont pas une fatalité mais sont le résultat de décisions politiques : la pauvreté et le changement climatique. La seconde traite notamment du capital humain.
La richesse est le patrimoine qui permet à un pays de produire des revenus (PIB) et de croître. Quand un pays investit dans sa population, sa richesse augmente et sa croissance économique s’accélère. Le capital humain, c’est-à-dire les compétences, l’expérience et le dynamisme d’une population, constitue la plus grande richesse des nations. Ce capital représente plus de 65 % de la richesse de l’ensemble des pays dans le monde entier, mais seulement 41 % de celle des pays à faible revenu. Plus un pays est développé, plus la part du capital humain est importante. L’enjeu est d’autant plus important que les progrès technologiques rapides exigent des pays qu’ils investissent sans attendre dans leur population pour espérer être compétitif dans l’économie de demain. Une nouvelle publication, intitulée The Changing Wealth of Nations 2018 : Building a Sustainable Future, qui paraîtra en janvier 2018, se penche sur cette problématique.
L’éducation est l’un des investissements les plus fructueux qu’une société puisse consentir en faveur de ses enfants, mais aussi de son capital humain. Il existe pourtant aujourd’hui une crise des apprentissages.
Selon le Rapport sur le développement dans le monde 2018, la situation de l’éducation varie fortement à l’intérieur d’un même pays et d’un pays à l’autre, en quantité comme en qualité.
Dans les pays les plus pauvres, moins d’un enfant sur cinq à l’école primaire possède les compétences requises en maths et en lecture. Des centaines de millions d’enfants à travers le monde entrent dans la vie adulte sans avoir acquis ne seraient-ce que les compétences nécessaires à la vie. Une étude à venir examinera les effets de l’éducation sur la mobilité économique entre les générations. Par exemple, environ 12 % des adultes nés dans certaines économies subsahariennes à faible revenu dans les années 1980 sont plus instruits que leurs parents, contre plus de 80% de la même génération dans certaines parties de l’Asie de l’Est.
Les premières années de la vie sont cruciales : c’est entre la naissance et six ans que le cerveau d’un individu se développe le plus rapidement. Une mauvaise nutrition pendant l’enfance peut avoir des conséquences profondes et durables sur les capacités d’apprentissage, la santé et la rémunération future. Le nombre d’enfants souffrant d’un retard de croissance globalement diminué depuis 1990, mais il a augmenté en Afrique subsaharienne, de près de 45 millions en 1990 à 57 millions en 2015. Si la tendance actuelle n’est pas inversée, le continent africain ne parviendra pas à atteindre l’objectif mondial visant à réduire les retards de croissance de 40 % d’ici 2025. Il est d’autant plus important d’investir dans la petite enfance que les emplois de demain exigeront des générations futures des compétences nouvelles et toujours plus sophistiquées.
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