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Union africaine
31 octobre 2014
« La réponse aux crises en Afrique doit être globale et basée sur la promotion de la gouvernance démocratique telles que garanties par la Charte africaine de la démocratie élaborée par l’Union africaine », a déclaré la présidente de la Commission de l’Union africaine (UA), Mme Nkosazana Dlamini-Zuma, dans un message adressé jeudi à Dakar aux Etats membres.
« ’Les conflits violents prolongés en Afrique ont non seulement occasionné d’importantes pertes en vies humaines sur le continent, un retard économique et la dégradation de l’environnement, mais ils ont aussi ralenti le rythme de la démocratisation », a-t-elle indiqué lors du 3ème dialogue annuel de haut niveau sur la démocratie, les droits de l’Homme et la gouvernance en Afrique.
« On ne peut réaliser une paix stable et la prospérité nationale que lorsque les institutions et systèmes sont représentatifs de tous les groupes dans une société donnée », a ajouté Mme Dlamini-Zuma.
Selon elle, « ce n’est que par la gouvernance démocratique et des solutions durables que l’on peut atteindre une paix et un développement humain durables ».
Ce 3ème dialogue qui a pour thème, « Faire taire les armes : renforcer la gouvernance pour prévenir, gérer et résoudre les conflits en Afrique », va permettre aux participants d’explorer les causes structurelles profondes des conflits en Afrique et de proposer des mesures politiques grâce auxquelles, les systèmes de gouvernance peuvent être renforcés en vue du règlement des conflits violents sur le continent, en collaboration avec l’Architecture africaine de la gouvernance (AAG).
Le choix de ce thème note-t-on, est une réponse à la déclaration solennelle du 50ème anniversaire de l’UA, adoptée par la 21ème session ordinaire de la conférence des chefs d’Etat et de gouvernement qui, entre autres, exhorte les dirigeants africains à mettre fin à « toutes les guerres en Afrique d’ici l’an 2020 ».
« ’Les efforts doivent inclure la promotion de la gouvernance démocratique, la cohésion et l’harmonie sociales, telles que garanties par la Charte africaine de la démocratie, des élections et de la gouvernance ente autres cadres normatifs de l’UA », selon Mme Dlamini-Zuma.
C’est, en effet, un objectif noble qui s’intègre parfaitement dans l’agenda africain « Vision de développement à long terme de l’Afrique » et dans le plan de développement à long terme de l’UA tels qu’énoncés dans la position commune sur l’agenda de développement post-2015.
Selon Mme Zuma, les défis actuels de la démocratie en Afrique sont liés à l’explosion démographique des jeunes, au chômage, aux inégalités socio-économiques, à la mauvaise gestion des ressources naturelles et à une radicalisation croissante de la jeunesse.
A cet effet, elle a expliqué que pour relever ses défis, la quête d’une démocratie inclusive doit nécessairement être une démarche qui implique la participation active de la Société civile africaine élargie et des autres acteurs non-étatiques tels que le secteur privé.
« ’D’ici 2020, l’Afrique sera exempte de conflit, en passe de devenir un continent totalement intégré, uni, prospère et pacifique dirigé par ses propres citoyens et représentant une force vive dans l’arène mondiale, a-t-elle conclu.
Elle a exprimé sa conviction que le dialogue de haut niveau suscitera des idées prospectives, pratiques et novatrices visant à faire taire les armes en Afrique d’ici l’an 2020.
La rencontre a été organisée par les organes de l’UA qui constituent l’Architecture africaine de la gouvernance (AAG) et sa plate-forme (PAG), en collaboration avec l’Etat du Sénégal.
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