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Sommet entre la Russie, l’Allemagne, la France et l’Ukraine
9 février 2015, par
En visite en Ukraine et en Russie, les 5 et 6 février, le président français François Hollande et la chancelière allemande, Angela Merkel, ont présenté une initiative de paix destinée à mettre fin au conflit ukrainien.
Depuis plusieurs mois, les débats portent principalement sur l’autonomie du sud-est de l’Ukraine, la mise en place d’une force internationale pour garantir la cessation des hostilités, et le statut international de l’Ukraine. Après plusieurs heures de négociations, au cours de ces deux jours, une réunion est prévue le 11 février entre les présidents français, russe et ukrainien ainsi que la chancelière allemande. L’objectif est de trouver une sortie de crise dans le conflit ukrainien, qui opposent les séparatistes pro-russes et les soldats ukrainiens.
En déplacement en Corrèze, samedi 7 février, François Hollande a estimé que cette tentative de relance de la diplomatie était la dernière chance pour la paix en Ukraine. « Si nous ne parvenons pas à trouver non pas un compromis mais un accord durable de paix, nous connaissons parfaitement le scénario, il a un nom, il s’appelle la guerre », a indiqué le président français.
Selon des sources citées par l’agence de presse Reuters, les parties en présence ne parviennent à sceller un accord en raison du « statut exact des régions de l’Est, du contrôle des frontières entre la Russie et l’Ukraine et du retrait des armes lourdes ». Les accords de Minsk, présentés en septembre 2014, prévoient une décentralisation en Ukraine avec davantage d’autonomie pour les régions russophones de Donetsk et Louhansk. Il est également prévu des élections locales ainsi que le gel des lignes de front.
Suite à leur rencontre, le président ukrainien, Petro Porochenko a estimé que la démarche franco-allemande pouvait aboutir, à condition que la totalité des points prévus par les accords de Minsk soient appliqués, notamment en ce qui concerne les lignes de front initialement fixées. Malgré tout, il a maintenu sa demande d’aide militaire à ses alliés.
« La question ukrainienne ne sera pas réglée tant que les peuples et les dirigeants en Europe et dans le monde entier n’apporteront pas un solide soutien à l’indépendance des Ukrainiens, politiquement, économiquement mais aussi militairement », a-t-il assuré devant les médias. Cependant, pour Angela Merkel, la livraison d’armes aux forces ukrainiennes n’est pas une solution au conflit, qui a déjà fait plus de 5.000 morts depuis avril.
Une position allemande incomprise du côté américain, le vice-président américain Joe Biden, qui a participé à la conférence de Munich, a expliqué que « le président Poutine a trop souvent promis la paix et livré des chars, des troupes et des armes. Nous continuerons donc de fournir à l’Ukraine une assistance de sécurité, non pas pour encourager la guerre mais pour permettre à l’Ukraine de se défendre. »
Du côté russe, les négociations ont été “constructives” et “substantielles” entre Angela Merkel, François Hollande et Vladimir Poutine. Cela leur a permis de trouver samedi 7 février un accord pour la “préparation” d’un futur plan de paix intégrant les propositions franco-allemandes et celles des présidents russe et ukrainien », a indiqué le porte-parole du Kremlin.
La volonté des Américains d’armer le camp ukrainien a poussé Angela Merkel à se rendre à Washington, deux jours avant la rencontre du 11 février, afin d’échanger avec Barack Obama sur la question. De son côté, Vladimir Poutine a affirmé que la Russie « ne compte faire la guerre à personne ». « Mais il y a, c’est certain, une tentative de freiner notre développement par différents moyens », a-t-il assuré, en allusion aux sanctions occidentales qui freinent l’économie de son pays.
Le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, a été plus tempéré : « nous estimons qu’il est tout à fait possible d’avoir des résultats et de tomber d’accord sur des recommandations qui permettront aux deux côtés de vraiment dénouer le conflit », a-t-il estimé. Les négociations en cours laissent présager une rencontre plus apaisée mercredi 11 février, et qui pourrait peut-être aboutir à une sortie de crise, bien que la situation sur le terrain reste extrêmement tendue.
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