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Après le résultat serré de l’élection présidentielle
17 avril 2013, par
Nicolas Maduro, président élu, et Henrique Capriles ont appelé leurs partisans à manifester mardi 16 avril après que des heurts aient éclaté à Caracas. De son côté, le Conseil national électoral a exclu tout nouveau dépouillement comme réclamé par l’opposition.
Au Venezuela, le pays est coupé en deux, avec un président élu à 50,8% (Nicolas Maduro – photo de gauche), contre 49,2% pour son adversaire (Henrique Capriles) qui continue de contester les résultats.
Henrique Capriles a refusé de reconnaitre la victoire du dauphin d’Hugo Chavez, et appelé ses sympathisants à manifester. La police a fait usage de gaz lacrymogènes pour disperser les jeunes manifestants qui lançaient des pierres dans un quartier chic de la capitale.
Une victoire officiellement proclamée
Le Conseil national électoral a officiellement proclamé lundi 15 avril la victoire de Nicolas Maduro à 50,8% des suffrages, soit une avance de 265.000 voix, contre 49% pour son adversaire.
Pour l’opposition, Henrique Capriles s’est imposé avec plus de 300.000 voix d’avance et possède la preuve de 3.200 irrégularités. « Nous sommes convaincus d’avoir gagné (...). Nous voulons que ce problème soit réglé pacifiquement. Il n’y a pas de majorité, mais deux moitiés », a lancé Henrique Capriles.
De son côté, Nicolas Maduro a appelé au calme et à la mobilisation à trois jours de sa prise de fonction. « J’appelle le peuple à lutter pacifiquement, à se mobiliser dans tout le pays (...). Les abus doivent cesser », a-t-il déclaré à la presse. Dénonçant les manœuvres de son concurrent, Nicolas Maduro a ajouté : « Ils essayent de bafouer la majorité (...). Nous les appelons à respecter la volonté du peuple ». Ce dernier a d’ailleurs qualifié de « caprices de bourgeois » la demande du chef de l’opposition.
Face à la mobilisation du lundi 15 avril, le parti d’Hugo Chavez a qualifié les manifestations de l’opposition comme un « coup d’État déguisé par le camp gouvernemental ». « Ce qui se cache derrière les paroles d’aujourd’hui, M. Capriles, c’est une convocation à un putsch contre l’État, les institutions », a lancé Jorge Rodriguez, le chef de campagne de Nicolas Maduro. Ce dernier a de son côté promis une « main dure contre les putschistes ».
Face aux prises de position de Nicolas Maduro, le gouverneur de l’Etat de Miranda dans le Nord, Henrique Capriles, a estimé que le président élu est « illégitime », appelant ses partisans à ne « pas tomber dans le piège de la violence ».
Le CNE n’en démord pas
Dans un même esprit, le Conseil national électoral a clairement exclu tout nouveau décompte des bulletins de vote et a accusé Henrique Capriles de ne pas respecter les lois et les institutions du Venezuela. « Les menaces et les intimidations ne sont pas le bon moyen pour faire appel des décisions prises par le CNE », a indiqué un communiqué de presse du CNE.
Le Conseil a également accusé les États-Unis et l’Organisation des États américains (OEA) de s’ingérer dans les affaires du Venezuela, parce qu’ils ont appuyé « l’idée d’un nouveau dépouillement », a révélé l’Agence France Presse. En effet, lundi, à l’annonce des résultats, la Maison-Blanche a appuyé la demande de l’opposition, estimant qu’il s’agirait d’une étape « importante, prudente et nécessaire ». De même, José Miguel Insulza, Secrétaire général de l’Organisation des États américains (OEA), s’est quant à lui prononcé en faveur d’un « dialogue national ».
La mission d’observation de l’Union des nations sud-américaines (Unasur) au Venezuela a demandé que soient « respectés les résultats » émanant du CNE, « unique autorité compétente » en matière électorale.
« C’est une situation très délicate. La marge est tellement étroite dans un pays qui est extrêmement divisé que cela va être difficile à digérer politiquement. Il est clairement divisé en deux », selon le politologue Ignacio Avalos, cité par l’AFP.
Céline Tabou
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