
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
L’aide internationale arriver au compte-gouttes en quantité très insuffisante
27 octobre 2023
« Je suis profondément inquiet concernant les claires violations du droit international humanitaire que nous voyons à Gaza », a déclaré le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres.
Le secrétaire général de l’ONU a dénoncé les "violations claires" du droit humanitaire à Gaza et réclamé un "cessez-le-feu humanitaire immédiat", devant un Conseil de sécurité toujours divisé depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas, le 7 octobre.
Antonio Guterres a provoqué la colère d’Israël, l’accusant à demi-mot de justifier l’attaque sanglante du Hamas du 7 octobre. De son côté, le représentant palestinien a dénoncé l’inaction "inexcusable" du Conseil de sécurité, qui a exposé ces dernières semaines ses divisions sur le dossier israélo-palestinien.
"Je suis profondément inquiet concernant les claires violations du droit international humanitaire que nous voyons à Gaza. Soyons clairs : aucune partie à un conflit armé n’est au-dessus du droit humanitaire international", a déclaré le secrétaire général de l’ONU dans la salle du Conseil rarement aussi bondée.
"Je répète mon appel à un cessez-le-feu humanitaire immédiat", a-t-il lancé.
L’aide humanitaire a commencé à arriver à Gaza depuis le 21 octobre via l’Egypte mais elle n’est qu’une "goutte d’aide dans un océan de besoins" dans ce territoire bombardé par Israël à la suite de l’attaque du Hamas le 7 octobre, a-t-il ajouté.
Condamnant une nouvelle fois les "actes terroristes horribles et sans précédent du Hamas", il a également noté que ces attaques ne s’étaient "pas produites en dehors de tout contexte", plaidant toujours pour une solution à deux Etats.
"Monsieur le secrétaire général, dans quel monde vivez-vous ?", a répondu le ministre israélien des Affaires étrangères, Eli Cohen. "Sans aucun doute, ce n’est pas le nôtre".
"Comment pouvez-vous conclure un accord de cessez-le-feu avec quelqu’un qui a juré de tuer et de détruire votre propre existence", s’est-il demandé, annulant sa rencontre avec Antonio Guterres.
L’ambassadeur israélien à l’ONU, Gilad Erdan, a réclamé la démission immédiate d’Antonio Guterres, l’accusant d’être "compréhensif face au terrorisme et aux meurtres" du Hamas.
Plus de 1.400 personnes ont été tuées en Israël depuis l’attaque du 7 octobre, essentiellement des civils massacrés par le Hamas ce jour-là, et quelque 220 otages israéliens, étrangers ou binationaux ont été recensés par les autorités locales.
Or selon le bilan du 24 octobre, plus de 5.791 morts incluant 2.360 enfants ont tués par les opérations militaires israéliennes. Avant une possible incursion terrestre de l’armée israélienne, les frappes se sont intensifiées ces derniers jours sur le territoire de 362 kilomètres carrés où s’entassent 2,4 millions de Palestiniens.
Le ministre palestinien des affaires étrangères, Riyad Al-Maliki, a lui dénoncé l’inaction du Conseil de sécurité de l’ONU face aux "massacres (...) perpétrés par Israël". "L’échec du Conseil de sécurité est inexcusable", a-t-il lancé, rejoint par plusieurs pays arabes.
"Le Conseil de sécurité doit prendre une position claire pour rassurer les 2 milliards d’Arabes et de musulmans sur le fait que le droit international sera appliqué", a plaidé le ministre jordanien des Affaires étrangères Ayman Safadi, au nom des 22 pays du groupe arabe.
La semaine dernière, le Conseil de sécurité de l’ONU a rejeté une proposition de résolution russe réclamant un "cessez-le-feu humanitaire". Seuls cinq des 15 Etats membres du Conseil avaient soutenu ce texte qui condamnait "toutes les violences contre les civils et tous les actes terroristes", mais sans nommer le Hamas.
Un deuxième projet de résolution du Brésil, qui préside le Conseil en octobre, a récolté 12 voix en faveur mais a été bloqué par un veto américain. Washington avait dénoncé l’absence de mention du "droit d’Israël à se défendre".
Les Etats-Unis ont depuis fait circuler un autre projet de résolution. "Nous reconnaissons tous le droit et l’impératif des Etats à se défendre contre le terrorisme", a insisté mardi le secrétaire d’Etat Antony Blinken, qui comme ses homologues a profité de cette visite à l’ONU pour multiplier les réunions bilatérales.
Le dernier projet de texte américain consulté par l’Agence France Presse note "le droit de tous les Etats à l’autodéfense", pas seulement Israël. Un nouveau document que "nous ne pouvons pas soutenir", a déclaré l’ambassadeur russe Vassili Nebenzia, indiquant travailler sur un texte alternatif.
Le chef de la diplomatie égyptienne Sameh Choukri s’est également "étonné" d’un texte sans référence à un cessez-le-feu "pour empêcher la détérioration de la situation qui pourrait mener la région vers un carrefour dangereux".
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