
C’était un 30 juin
30 juin, par1993- La disparition de Lucet Langenier. Elle a été brutale, prématurée et a frappé douloureusement non seulement sa famille mais aussi ses (…)
L’Assemblée a discuté pendant quatre heures hier
5 septembre 2013, par
À 24 heures de l’ouverture du sommet du G20, le président russe Vladimir Poutine a exigé des ’preuves convaincantes’ concernant le recours présumé d’armes chimiques par les autorités syriennes.
Craignant que le dossier syrien soit le point central du sommet du G20, Moscou baisse le ton et tente l’apaisement. De son côté, le président Barack Obama essaie de convaincre le Congrès d’une action militaire. Ce dernier a reçu le soutien de plusieurs élus de poids. De même, à Paris, l’intervention en Syrie a été débattue devant le Parlement français depuis le 4 septembre.
Les Russes restent dans l’expectative
Le conflit a débuté en 2011, à la suite du Printemps arabe, depuis le conflit a fait plus de 110.000 morts selon l’Agence France Presse. La limite imposée par les Occidentaux, pour pouvoir intervenir était l’utilisation d’armes chimiques. Le 21 août, cette limite a été dépassée, sans toutefois entraîner d’intervention sur le territoire syrien. En effet, les États-Unis et la France cherchent à mettre en place une coalition pour mener des frappes contre les forces de Bachar al-Assad, en représailles à une offensive chimique toujours "présumée".
Dans un tel contexte, Vladimir Poutine a exigé que les Occidentaux présentent à l’ONU des " preuves convaincantes " de l’usage d’armes chimiques par le pouvoir syrien, affirmant que la Russie serait dans ce cas prête " à agir le plus résolument et sérieusement possible ", a relevé l’AFP. Le pays a évoqué la possibilité de mettre son veto à toute intervention en Syrie, bloquant ainsi les actions du Conseil de sécurité. Suite aux déclarations française et américaine, le président russe a expliqué dans un entretien à la chaîne publique Pervyi Kanal qu’une intervention militaire en Syrie sans l’aval du Conseil de sécurité serait une " agression ".
Ce dernier a également indiqué avoir suspendu ses livraisons de batteries sol-air S300 à Damas. En France, le Premier ministre Jean-Marc Ayrault a défendu la ligne de la France, qui est de réunir une coalition internationale afin de "sanctionner" Bachar al-Assad. Contrairement aux Américains et aux Britanniques, les parlementaires français ne voteront pas, bien que 74% des Français souhaitent un vote avant toute action militaire.
Incertitudes
Déterminé à intervenir en Syrie, dans l’hémicycle, Jean-Marc Ayrault a martelé les "certitudes" du gouvernement sur l’usage de gaz sarin et sur la responsabilité du régime syrien dans l’attaque du 21 août près de Damas. Au cours des débats qui auront duré quatre heures, et auront été retranscrits en partie par l’Agence France Presse, le Premier ministre a rappelé son soutien à l’instar de "tous les députés de l’opposition d’alors", à l’intervention de la France en Libye en mars 2011. Jean-Marc Ayrault a ainsi demandé "du fond du coeur" que le Parlement soit réuni "pour condamner concrètement le régime de Bachar al-Assad".
De son côté, le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, a mis en garde contre les risques d’une " action punitive ". Ce dernier a souligné l’impact que celle-ci pourrait avoir "sur les efforts pour empêcher d’autres effusions de sang et faciliter un règlement politique du conflit". De nombreuses voies se sont fait entendre contre ces attaques, notamment le Haut Commissariat de l’ONU pour les réfugiés (HCR), qui a estimé que le nombre de réfugiés syriens dépassait désormais les deux millions, soit huit fois plus qu’il y a un an. Malgré les tensions, le vice-ministre syrien des Affaires étrangères Fayçal Moqdad a indiqué lors d’une interview exclusive à l’AFP que les autorités ne cèderont pas " face aux menaces de frappe occidentale même en cas de troisième guerre mondiale. Aucun Syrien ne peut sacrifier l’indépendance de son pays ". Ce dernier a indiqué que Damas avait pris "toutes les mesures" pour faire face à une éventuelle attaque et qu’il mobilisait ses alliés face à l’axe mené par les États-Unis et la France.
Céline Tabou
1993- La disparition de Lucet Langenier. Elle a été brutale, prématurée et a frappé douloureusement non seulement sa famille mais aussi ses (…)
10 000 citoyennes et citoyens – paysans, scientifiques, médecins et victimes – se sont mobilisés dans plus de 60 villes en France pour alerter sur (…)
La Réunion fait partie des régions françaises les plus touchées par les conséquences sanitaires, sociales et judiciaires de la consommation (…)
Médam zé Méssyé, la sossyété zot i ansouvien lo tan l’avé lo pou. Sa té in problèm pou zabitan noute péi pars pou-la sa i grate la tète, é i rann (…)
Les députés ont inscrit dans la loi un premier objectif d’atteindre « 87,5% » du Smic dès le 1er janvier 2026, tout en assurant de « prioriser le (…)
« Nous préparons actuellement une grande conférence sociale rassemblant responsables politiques, économistes et partenaires sociaux, pour tracer (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Le Président des Etats-Unis, Donald Trump a ordonné le bombardement de trois sites nucléaires en Iran, dans la nuit du 21 juin 2025. Dans une (…)
Des manifestants, réunis le 23 juin devant les institutions européennes, ont demandé la suspension de l’accord d’association liant l’UE à Israël. (…)
L’État poursuit son engagement en faveur de la transition énergétique et de la décarbonation de l’électricité à La Réunion. À l’issue d’un appel à (…)
Dans les départements d’outre-mer, près d’une femme sur deux qui devient mère ne vit pas en couple, configuration familiale bien plus fréquente (…)
Une fois de plus, des femmes sont la cible d’une forme de violence lâche, insidieuse et profondément inquiétante : les attaques à la seringue dans (…)