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Zimbabwe :
7 avril 2008
Le parti au pouvoir au Zimbabwe se prépare pour le 2ème tour de l’élection présidentielle, après avoir rejeté la proposition de l’opposition de constituer un gouvernement d’union nationale.
Selon l’hebdomadaire zimbabwéen “Sunday Mail”, le Ministre de la Justice, Patrick Chinamasa, a refusé dimanche l’idée d’un tel gouvernement, évoquée la veille par le leader du Mouvement pour le changement démocratique (MDC - opposition), Morgan Tsvangirai.
« Nous ne pouvons pas travailler avec le MDC car nos objectifs politiques et nos aspirations sont aussi différents que le jour et la nuit (...). Ce serait comme mélanger l’eau et le feu », a-t-il déclaré.
Les hauts dirigeants du parti au pouvoir depuis l’indépendance de l’ex-Rhodésie ont axé leur campagne sur le thème de l’indépendance nationale, accusant le MDC de renoncer à la souveraineté et de vouloir remettre le pays « sous la tutelle des Britanniques ».
Le même Morgan Tsvangirai affirmait peu auparavant que Mugabe préparait « une guerre contre le peuple » et déployait des éléments armés, notamment des vétérans de la guerre d’indépendance, en prévision d’un second tour de l’élection présidentielle.
Le principal opposant au Président Mugabe affirme que son parti, le MDC, a remporté le scrutin présidentiel du 29 mars « sans qu’il y ait besoin d’un second tour ». Mais les résultats officiels n’ont pas été officialisés. La commission électorale a annoncé dimanche qu’ils seraient publiés « quand ils seraient prêts ».
La Grande-Bretagne et les Etats-Unis, qui appliquent déjà des sanctions au pouvoir actuel, n’ont pas caché leur empressement, critiquant l’absence de résultats proclamés comme « le signe possible d’une falsification » par le pouvoir en place.
Dans le pays, c’est le MDC qui est visé par des accusations de fraude. A Harare, le journal gouvernemental “Herald” rapportait samedi l’arrestation d’un responsable électoral dans la province des Midlands, où des bureaux de vote auraient "gonflé" le nombre de suffrages exprimés en faveur du MDC et réduit ceux qui sont allés à Mugabe et aux candidats de la Zanu-PF.
Aux élections législatives, la Zanu-PF aurait perdu la majorité qu’elle détenait depuis 28 ans, le MDC revendiquant 109 sièges sur 210. Mais des représentants de la Zanu ont fait état de corruption massive de responsables électoraux par le MDC, en annonçant que ce parti contesterait les résultats de 16 circonscriptions. Si cette contestation était validée par un tribunal électoral, elle pourrait renverser la tendance.
Selon des projections de la Zanu-PF et d’observateurs indépendants, Tsvangirai arriverait en tête de la Présidentielle, mais sans recueillir la majorité absolue qui éviterait un second tour.
La commission électorale du Zimbabwe a annoncé samedi les résultats définitifs des sénatoriales, qui se traduisent par l’attribution de 30 sièges à la Zanu-PF et d’un nombre égal à l’opposition formée par le MDC et une faction dissidente.
Le contrôle du Sénat, qui peut bloquer des lois adoptées à la Chambre basse, dépendra du vainqueur de la Présidentielle : le chef de l’Etat nomme 15 sénateurs, les 18 autres étant désignés par des chefs coutumiers, en général alliés au président.
Le Président sud-africain Thabo Mbeki, présent samedi à une conférence organisée près de Londres sur la “Gouvernance progressiste”, a recommandé la patience à la communauté internationale, jusqu’à la proclamation des résultats complets. Thabo Mbeki, qui a déjà tenté l’an dernier plusieurs médiations régionales, juge quant à lui que « la situation est gérable ».
Commémoration du 14ème anniversaire du Génocide Rwandais
Au cœur des conflits : les violences contre les femmes et les enfants
Le Département de Paix et Sécurité de l’Union Africaine organise ce lundi 7 avril à Addis Abéba (Ethiopie) la Commémoration du 14ème anniversaire du génocide rwandais. Les manifestations ont commencé par un séminaire, tenu les 4 et 5 avril au siège de l’Organisation africaine, sur le thème : “Eradiquer la violence à l’encontre des femmes en situation de conflit : Leçons tirées du génocide du Rwanda”.
Organisé par le Département des Affaires politiques de l’Union Africaine en collaboration avec le Fonds des Nations Unies pour la Femme (UNIFEM), la Commission Economique pour l’Afrique (CEA), l’Ambassade de Suède en Ethiopie et l’Institut Ethiopien des Etudes en Sécurité, ce séminaire a pour objectif principal de commémorer le 14ème anniversaire du génocide au Rwanda. Au-delà du devoir de mémoire, cette rencontre va favoriser l’échange d’expériences et de bonnes pratiques sur les violences faites aux femmes dans les situations de conflit dans les pays africains. Elle permettra aussi de tirer des leçons non seulement de l’expérience rwandaise mais aussi d’autres pays, sur les violences contre les femmes. Enfin, la réunion dessinera la voie et la marche à suivre pour prévenir ces violences. Ainsi, à l’issue de ce séminaire, les participants livreront une stratégie de prévention des violences à l’encontre des femmes dans les pays africains en conflit. Il donnera lieu à un rapport sur les bonnes pratiques, un outil de travail pour en finir avec cette violence dirigée contre les femmes dans les périodes de conflit. Enfin, ce séminaire se propose de renforcer les capacités des décideurs dans ces domaines.
Lors de la cérémonie d’ouverture du séminaire, s’exprimant au nom de la Commission, le Dr Mamadou Dia, chef de la Division de la démocratie, de la gouvernance, des droits de l’homme et des élections, a rappelé l’importance du thème du séminaire étant donné la gravité « des abus auxquels les femmes et les filles sont sujettes lors des conflits, qu’il s’agisse de violences sexuelles, d’esclavage sexuel, des contaminations par le VIH-SIDA et d’autres maladies sexuellement transmissibles ». « Il est temps de dire “Plus Jamais” », a-t-il ajouté.
Communiqué de l’Union africaine (Communication et Information)
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