
Turbulence à la Mairie de Saint-André
5 juillet, parAprès les coupures d’eau mémorables sur fond de polémique, le conflit Mairie de Saint-André-Cirest qui perdure, les plaintes à répétition, les (…)
Mis en place historique d’un cadre commun
25 novembre 2020
Pour la première fois, les pays créanciers se mettent d’accord sur un cadre commun incluant, outre les 22 membres du Club de Paris, des pays comme la Chine, lors d’une réunion du G20 à Ryadh, en Arabie saoudite, le 23 février 2020.
Le G20 s’est accordé sur un cadre commun permettant une restructuration de la dette des pays pauvres et plaçant sur un pied d’égalité les créanciers publics, y compris la Chine, et privés, selon le ministère français des finances.
Selon la Banque mondiale, la dette extérieure totale des pays éligibles à l’initiative de suspension du service de la dette (DSSI) a augmenté de 9,5% pour atteindre un record de 744 milliards de dollars en 2019 par rapport à 2018.
Après avoir adopté en avril un moratoire sur le paiement du service de la dette de six mois – prolongé en octobre jusqu’en juin 2021 –, le G20 a décidé d’aller plus loin en acceptant d’étudier, « au cas par cas », des demandes « de rééchelonnement, de réduction », voire d’« annulation de dette ».
Le cadre a été adopté le 13 novembre par les ministres des finances du G20. Il fixe des principes communs pour les 22 pays membres du Club de Paris, mais aussi pour cinq pays membres du G20 : la Chine, l’Inde, l’Arabie saoudite, l’Afrique du Sud et la Turquie. 73 pays seront éligibles à une restructuration, dont 38 sont situés en Afrique subsaharienne.
« C’est un accord historique, car c’est la première fois que des pays se mettent d’accord sur un cadre commun » au-delà du seul Club de Paris, dont n’est pas membre la Chine, « de loin le premier créancier » au monde, a ajouté la même source au sein du ministère français des finances.
Cet élargissement permettra d’éviter des restructurations unilatérales, souvent inéquitables. De plus, il prévoit d’impliquer les créanciers privés, qui ne participaient pas au moratoire, selon le principe de la « comparabilité de traitement ».
Cela signifie que le débiteur se voit offrir une restructuration de sa dette par un créancier public, qui devra exiger le même traitement de tous ses créanciers. Enfin, le Fonds monétaire international (FMI) sera « le pivot » du système, puisque les pays demandant à bénéficier d’une restructuration devront se soumettre à un programme macroéconomique défini par le FMI pour s’assurer de la « soutenabilité » de leur dette.
Le moratoire a permis à 46 pays de bénéficier de reports de paiements, à l’échéance 2022-2024, à hauteur de 5,3 milliards de dollars (sur près de 30 milliards d’intérêts dus en 2020). Un quart de la dette de ces 46 pays, qui s’élève à 71,5 milliards de dollars, est dû à la Chine, selon la Banque mondiale.
Après les coupures d’eau mémorables sur fond de polémique, le conflit Mairie de Saint-André-Cirest qui perdure, les plaintes à répétition, les (…)
Le CIOM « national » aura bien lieu le 10 juillet au Ministère des Outre-mer, en présence du Premier ministre, François Bayrou et du ministre de (…)
Kan i ariv Novanm-Désanm-Zanvié, domoun i réziste pi ek la salèr. Zène-zan i mars dann somin, zène-fi i roul an dékolté ; sétaki i rod in manir po (…)
En avril 2025, la ministre malgache des Affaires étrangères, Rasata Rafaravavitafika a déclaré que "la position de Madagascar concernant la (…)
L’ancien chef de la diplomatie européenne a déclara qu’« en un mois, 550 Palestiniens affamés ont été tués par des mercenaires américains ». Une (…)
Après l’opération militaire d’Israël « Rising Lion » (« Lion dressé ») contre l’Iran dans la nuit du jeudi 12 au vendredi 13 juin 2025, et celle (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
La Réunion fait partie des régions françaises les plus touchées par les conséquences sanitaires, sociales et judiciaires de la consommation (…)
1993- La disparition de Lucet Langenier. Elle a été brutale, prématurée et a frappé douloureusement non seulement sa famille mais aussi ses (…)
Sur proposition de Gérard COTELLON, directeur général de l’ARS La Réunion, Patrice LATRON, préfet de La Réunion, a décidé le retour au niveau 2 du (…)
C’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
La section PCR du Port apprend avec une profonde tristesse le décès de Nadia PAYET, ancienne déléguée syndicale CGTR. Militante engagée et (…)