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Crise en Europe
27 mars 2012, par
Après les pressions de la troïka FMI-Union européenne et Banque centrale européenne, l’Allemagne a émis la possibilité du renforcement du mécanisme européen de stabilité (MES) qui devrait être mise en vigueur en juillet. Ce MES est un outil de gestion de la crise de la dette souveraine et un pare-feu afin que les états n’entrent pas en faillite.
En vue de réformer le fonctionnement de la zone euro en pleine crise, le MES prendra la place du Fonds européen de stabilité financière (FESF), qui n’a pas de fondement juridique. L’Allemagne est le premier contributeur de ce mécanisme, et la chancelière Angela Merkel, avait toujours refusé de renflouer ce fonds. Car celui-ci pourrait lui demander de remettre en cause son économie relativement épargnée par la crise. Toutefois, selon l’hebdomadaire allemand "Der Spiegel", la chancelière et le ministre des Finances, Wolfgang Schäuble, devraient accepter les mesures proposées par Bruxelles et le Fonds Monétaire International qui consistent à mêler les moyens du FESF (440 milliards d’euros) au futur MES. Mais avant cela, le Bundestag, Parlement allemand, devra approuver cette possibilité.
Un pare-feu pour les politiques économiques souveraines
La capacité d’emprunt du Fonds de stabilité financière et du Mécanisme européen de stabilité devait atteindre 500 milliards d’euros. Mais pour certains états, ce plafond n’est pas assez élevé. L’actuel chef de l’état français, Nicolas Sarkozy et d’autres dirigeants européens souhaitent relever ce filet de sécurité afin de rassurer les investisseurs sur la capacité de l’Europe à faire face aux crises.
De son côté, la Commission européenne veut cumuler les deux fonds, avec pour garantie les contributions au capital des Etats membres. Cette proposition est rejetée pour des raisons budgétaires, par de nombreux d’Etats. « Plus d’argent tranquilliserait encore davantage les marchés », qui ne croient « pas que la crise est finie », a estimé le président du FESF, Klaus Regling, cité par "Les Echos". En dépit des réticences de certains, le gouvernement allemand négocie un compromis permettant d’augmenter les moyens du fonds de secours européen contre la crise de la dette. Angela Merkel a expliqué lors d’une conférence de presse, lundi 26 mars, que l’Allemagne envisageait la possibilité de cumuler le MES avec les 192 milliards d’euros de prêts déjà octroyés ou promis par le FESF pour atteindre près de 700 milliards d’euros, a révélé l’Agence France Presse.
Faire peser le MES sur les états
Le plafond du pare-feu serait alors de 700 milliards, grâce aux contributions des états. Ceux-ci sont déjà en difficulté et mettent en place des plans de rigueur pour pouvoir réduire leur déficit public et se conformer à la règle d’or, imposant l’équilibre des comptes publics ainsi que des sanctions plus automatiques contre les pays possédant un budget déséquilibré. En actant le relèvement du plafond du MES, les gouvernements devront trouver les moyens financiers de financer ce mécanisme, au détriment d’une politique budgétaire destinée à relancer la croissance, notamment en créant de l’emploi.
La France est le second pays contributeur avec l’Allemagne, elle pourrait alors imposer de nouvelles mesures d’austérité chaque fois que le gouvernement apportera sa contribution au capital du mécanisme. Face aux risques économiques et à la fragilité de la zone euro, l’Allemagne devrait réclamer de nouveaux gages de discipline de la part des états membres et notamment ceux en difficultés comme la Grèce, l’Espagne, le Portugal ou l’Italie.
Céline Tabou
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