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Premières annonces de Syriza
30 janvier 2015
Georges Katrougalos, le nouveau ministre de la réforme administrative, a assuré dans une interview au quotidien Le Monde, que son gouvernement ne reconnait ni le mémorandum ni la troïka FMI-BCE-Commission européenne.
Le gouvernement grec, dirigé par Alexis Tsipras, a annoncé plusieurs mesures allant contre les réformes imposées par la troïka (BCE, FMI et UE). Parmi elles, la remise en cause des privatisations du port du Pirée, de Thessalonique, de la compagnie d’électricité DEI, une hausse du salaire minimum, la réintégration de plusieurs milliers de fonctionnaires, le relèvement des pensions des retraités les plus pauvres.
Sur le plan social, Alexis Tsipras a promis l’adoption des mesures sociales pour répondre à la crise humanitaire vécue par les citoyens après six ans d’austérité, qui a entraîné à une profonde récession et une explosion du chômage. Face à un tel contexte, le nouveau ministre des Finances, Yanis Varoufakis, a plaidé pour un « New Deal paneuropéen pour aider à la reprise en Europe et mettre fin à la politique de rigueur ».
En dépit de la tension sur les marchés, créée par la victoire de Syriza, Georges Katrougalos a rappelé que ses « prédécesseurs ont inscrit toute leur action de réforme dans le cadre des objectifs quantitatifs de réduction de la fonction publique dictés par la Troïka, qu’ils ne contestaient pas ». Ce dernier a d’ailleurs assuré que qu’il était « libre de dessiner seul les contours de la réforme qu’[il croit] nécessaire ».
La mesure phare et “symbolique” de cette présidence est la réembauche des quelque 2 000 fonctionnaires « victimes de licenciements injustes, en dehors de toute procédure d’évaluation, comme les 500 femmes du ministère de l’économie ou les gardiens d’école qui ont été écartés simplement pour répondre à l’objectif de 15 000 licenciements d’ici à fin 2014 ».
Pour ce dernier, « on ne peut pas réduire plus » la taille de la fonction publique grecque. Le ministre a également mis l’accent sur le « problème du clientélisme », auquel il entend s’attaquer ardemment. « Tous les ministres se sont heurtés à des résistances au sein de leurs services mais nous sommes un parti neuf, sans clientèle politique, et le premier ministre m’a donné carte blanche pour lutter contre ce fléau » a affirmé le nouveau ministre.
Les mesures annoncées sont à l’opposé des mémorandums conclus avec la Troïka des bailleurs de fonds du pays, ce qui a entraîné une chute de l’indice de la Bourse d’Athènes (- 9,24 %), et une hausse du taux des emprunts grecs à 10 ans, repassé au-dessus de 10 %.
Les quatre banques grecques, la banque du Pirée, Alpha banque, Eurobank et la Banque nationale de Grèce avaient été deux fois recapitalisées depuis l’éclatement de la crise de la dette en 2010. Six jours avant les élections législatives les banques ont profité du programme de liquidités d’urgence (ELA) prévu par la BCE.
Depuis le début de la crise, les banques ont reçues à plusieurs reprises des liquidités dans le cadre d’un mécanisme européen décidé au cas par cas. Cependant, avec ce nouveau gouvernement, les banques craignent de ne pas pouvoir compter sur de nouveau jet de liquidités pour payer leurs dettes.
En effet, les dettes privées des banques sont devenues au cours de la crise des dettes souveraines. D’ailleurs, « la restructuration du secteur n’a pas vraiment été réalisée », contrairement au secteur espagnol, a expliqué Christopher Dembik, économiste chez Saxo Banque, à l’Agence France Presse.
D’après Christopher Dembik, économiste chez Saxo Banque, « le risque n’est pas vraiment lié aux dettes de l’Etat grec qu’elles détiennent dans leurs portefeuilles, puisque leur exposition n’est pas très importante, mais du fait qu’elles font face à des créances douteuses élevées ». Ainsi le programme du nouveau gouvernement pourrait avoir des effets positifs sur l’économie du pays.
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