
Poinn dévlopman konsékan pou nou péi l’outre-mèr .
18 juillet, parMézami, mi koné pa zot, koman zot i réazi ané apré ané kan in nouvèl ané i ranplass l’ansyène. Mi koné pa si zot lé sansoussi kan in n’ané i fini (…)
31 mars, par
Les États-Unis étaient le plus grand contributeur au budget de l’OMS, car sur le dernier cycle budgétaire de deux ans, pour 2022-23, ils ont apporté 16,3% des 7,89 milliards de dollars de budget total de l’organisation.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a proposé de réduire d’un cinquième son budget suite à la décision des États-Unis, son principal contributeur, de se retirer, et doit désormais réduire ses missions et son personnel, a déclaré le directeur général de l’institution, Tedros Adhanom Ghebreyesus dans un mail interne consulté par l’Agence France Presse, le 29 mars.
L’OMS fait face à une perte de près de 600 millions de dollars en 2025 et n’a « pas d’autre choix » que de commencer à faire des coupes budgétaires, a expliqué le directeur général de l’OMS dans le message envoyé au personnel de l’agence de santé de l’ONU.
Au-delà du retrait de son pays après son entrée à la Maison Blanche en janvier, le président américain Donald Trump a décidé de geler quasiment toute l’aide étrangère américaine, y compris d’importants programmes visant à améliorer la santé dans le monde.
Les États-Unis avaient déjà entamé les démarches pour quitter l’OMS lors du premier mandat de Donald Trump en 2020. Celui-ci avait alors justifié sa décision en janvier par l’écart des contributions financières américaines et chinoises, accusant l’organisation d’« arnaquer » son pays.
En conséquence, Tedros Adhanom Ghebreyesus avait déjà prévenu fin janvier que l’OMS allait prendre des mesures drastiques. Les États-Unis étaient le plus grand contributeur au budget de l’OMS. Ainsi, sur le dernier cycle budgétaire de deux ans, pour 2022-23, ils ont apporté 16,3% des 7,89 milliards de dollars de budget total de l’organisation.
« Des réductions drastiques de l’aide publique au développement par les États-Unis et d’autres pays causent d’énormes perturbations pour des pays, des ONG et des agences des Nations Unies, y compris l’OMS », a souligné Tedros Adhanom Ghebreyesus dans son mail.
Avant même le début du processus de retrait américain, l’OMS était déjà confrontée à des contraintes financières, et avait commencé plus de neuf mois auparavant à travailler sur des mesures pour améliorer son efficacité, a remarqué son dirigeant.
Mais « l’annonce des États-Unis, combinée à des réductions récentes de l’aide publique au développement de certains pays pour financer une augmentation des dépenses de défense, a rendu notre situation beaucoup plus critique », a encore expliqué Tedros Adhanom Ghebreyesus.
« Bien que nous ayons réalisé des économies de coûts substantielles, les conditions économiques et géopolitiques actuelles rendent la mobilisation des ressources particulièrement difficile », écrit-il.
En février, le conseil exécutif de l’OMS avait réduit le budget proposé pour 2026-2027 de 5,3 à 4,9 milliards de dollars. « Depuis lors, les perspectives de l’aide au développement se sont détériorées », a rappelé Tedros Adhanom Ghebreyesus.
Et « nous avons donc proposé aux États membres un budget encore réduit de 4,2 milliards de dollars, soit une baisse de 21 % par rapport au budget initialement proposé ».
La majorité du financement américain provenait de contributions volontaires pour des projets spécifiques, et non une participation fixe. « Malgré tous nos efforts, nous en sommes maintenant au point où nous n’avons d’autre choix que de réduire le périmètre de notre travail et de notre personnel », a conclut Tedros Adhanom Ghebreyesus.
Ce dernier a précisé que « ces mesures s’appliqueront d’abord au niveau du siège, en commençant par les hauts dirigeants, mais affecteront tous les niveaux et toutes les régions ».
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