
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Référendum sur la Constitution européenne
27 janvier 2005
Inquiétude sur l’avenir des services publics, retour de la question sociale sur le devant de la scène et montée des critiques face à la construction libérale sont autant d’éléments qui inquiètent ceux qui appellent à voter “oui” pour le référendum sur la Constitution européenne. Un scrutin où l’abstention pourrait être le grand vainqueur.
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Après une semaine marquée par la plus forte mobilisation sociale depuis le mouvement contre la réforme des retraites en 2003, les partisans du “oui” à la constitution européenne dissimulent mal leur crainte de voir le “non” gagner les rangs des contestataires.
"Il y a d’un côté des intérêts socioprofessionnels et de l’autre, l’Europe, un intérêt historique pour la France. Ce sont deux sujets qui ne devraient pas se télescoper", souligne-t-on du côté de Matignon.
Plus explicite, le député UMP Thierry Mariani met en garde son camp contre un "véritable séisme" à l’occasion du référendum. "Je ne rencontre dans ma circonscription que des électeurs qui me disent qu’ils vont voter non", déplore-t-il. La fébrilité, à l’approche du référendum, gagne donc le camp du “oui”.
Alors que le divorce est chaque année plus profond entre les politiques européennes et les attentes des citoyens - en témoignent les taux d’abstention record des dernières élections au Parlement européen -, il n’est pas exclu que le prochain référendum cristallise les mécontentements face à une Europe taillée sur mesure pour les marchés financiers.
Interrogé par l’AFP, l’analyste François Miquet-Marty de l’Institut Louis-Harris estime que "l’Europe est souvent vécue comme l’accélérateur du libéralisme" et que la question sociale peut peser sur l’issue du référendum.
Pour Jérôme Sainte-Marie de BVA-Opinion, pourtant, "pour l’instant, le “non” est avant tout souverainiste. Le “non” populaire, de gauche, ne s’exprime pas encore et n’est pas structuré".
Ce mélange de critiques, d’exaspération et d’attentes à l’égard de l’Europe peut tout aussi bien se traduire dans les urnes par le “non” au projet de traité constitutionnel que par une forte abstention.
"Nous faisons les frais des politiques de libéralisation. Pour moi le “non” à la constitution européenne est incontournable pour défendre le service public. Mais il ne suffit pas d’appeler à voter “non”. Les enjeux de ce texte échappent à de nombreux salariés et si nous ne faisons pas un important travail d’information et de décryptage, le grand vainqueur sera l’abstention", expose Francis, un cheminot syndiqué à la CGT.
Présidentielle 2007
La droite l’emporterait dans tous les cas
Selon un sondage de l’IFOP, Jacques Chirac ou Nicolas Sarkozy gagnerait la course à l’Élysée en 2007, quel que soit le candidat socialiste.
Selon une dépêche de l’AFP diffusée avant-hier mardi et qui sera sans doute commentée, "la droite l’emporterait dans tous les cas de figure au second tour de l’élection présidentielle de 2007, qu’elle soit représentée par Jacques Chirac ou Nicolas Sarkozy et quel que soit le candidat PS, François Hollande, Jack Lang ou Laurent Fabius". L’agence de presse fait état des résultats d’un sondage IFOP à paraître aujourd’hui dans “Paris-Match”.
Selon cette dépêche, l’actuel président de la République serait réélu face à François Hollande, le premier secrétaire du PS, avec 51% des voix contre 49%. Il l’emporterait plus largement face à Jack Lang (53% contre 47%) ou Laurent Fabius (56% contre 44%).
N. Sarkozy, le président de l’UMP, serait élu avec une marge plus grande encore avec 53% des voix, contre 47%, face à F. Hollande ; 54% contre 46% face à J. Lang ; et 57% contre 43% face à L. Fabius.
Dans le cas d’une primaire Chirac-Sarkozy au 1er tour, c’est le président de l’UMP qui sortirait vainqueur avec 25% des intentions de vote contre 17% à Jacques Chirac, et 23% à François Hollande.
Dans cette configuration, Jean-Marie le Pen (FN) obtiendrait 10% des suffrages, François Bayrou (UDF) 6% et Philippe de Villiers (MPF) 2%. À gauche, Arlette Laguiller (LO), Olivier Besancenot (LCR) et Marie-George Buffet (PCF) totaliseraient 4% chacun et Noël Mamère (Verts) 5%.
Dans le cas d’une candidature unique, N. Sarkozy bénéficie de meilleures intentions de vote au 1er tour que le chef de l’État. Il obtiendrait ainsi 32% face à F. Hollande, 33% face à J. Lang et 34% face à L. Fabius, tandis que J. Chirac recueillerait 28% face à F. Hollande et 27% face à J. Lang ou L. Fabius.
Dans cette hypothèse, J.-M. Le Pen recueillerait dans tous les cas de figure un score compris entre 12% et 13%.
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