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Pendant que Kiev refuse le plan de paix de la Russie
5 septembre 2014, par
Le Royaume-Uni accueille le sommet de l’OTAN, les 4 et 5 septembre, au moment où les tensions avec la Russie restent vives. Le pays est accusé d’agression militaire en Ukraine, alors que la pression s’accentue sur Moscou, Paris ayant décidé de suspendre la livraison d’un navire de guerre.
En présence d’une soixantaine de chefs d’Etat et de gouvernement, le sommet abordera la crise en Ukraine et la position de la Russie, ainsi que la situation irakienne et syrienne avec l’Etat islamique. Toutefois, le sommet sera très largement dominé par l’Ukraine et la réponse de l’alliance face à Poutine.
Pour l’Occident, la participation de soldats russes aux combats aux côtés des rebelles séparatistes a conduit à une dégradation de la situation dans le pays. Si bien qu’une réunion avant l’ouverture du sommet a été organisée entre le président Petro Porochenko et les dirigeants américain, britannique, allemand, français et italien.
Vladimir Porochenko les informera de son « évaluation » de « la situation sur le terrain et de ses discussions avec le président Poutine », selon une source gouvernementale britannique, citée par l’Agence France Presse.
Les pays membres de l’Alliance veulent afficher leur détermination et leur unité face à la Russie, qui a proposé la veille du sommet, mercredi, une résolution de conflit. Le président russe avait déclaré « Je pense qu’un accord final entre les autorités ukrainiennes et le sud-est de l’Ukraine pourrait être trouvé et fixé le 5 septembre ».
Ce dernier a présenté son plan d’actions destiné à « arrêter l’effusion de sang et à stabiliser la situation dans le sud-est de l’Ukraine », a cité l’agence de presse russe, Ria Novosti. Sept préalables ont été mit en avant par ce dernier, parmi lesquels l’arrêt des opérations offensives près de Donetsk et de Lougansk par l’armée ukrainienne et les rebelles, le contrôle « d’une manière objective l’application du cessez-le-feu » et l’organisation du suivi de la situation dans cette nouvelle zone de sécurité.
Suite à la déclaration de Vladimir Poutine, porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a expliqué que « la Russie ne peut concrètement pas négocier un cessez-le-feu, car elle n’est pas partie prenante au conflit ». La proposition russe a été qualifiée de « poudre aux yeux visant à tromper l’Occident. Le véritable plan de Poutine, c’est de détruire l’Ukraine et de rétablir l’Union soviétique. Le seul plan à mettre en œuvre est un retrait de l’armée russe, des mercenaires et des terroristes du territoire ukrainien », par le Premier ministre Arseni Iatseniouk.
Jeudi après-midi, la réunion de la commission OTAN-Ukraine a été l’occasion pour les 28 dirigeants de l’Alliance d’apporter officiellement leur solidarité avec l’Ukraine. De son côté, Barack Obama a indiqué lors d’une visite mercredi en Estonie, que les Etats devaient soutenir « sans ambiguïté » l’Ukraine, et prendre « des engagements concrets pour l’aider à moderniser et renforcer ses forces de sécurité ». Ce dernier et le Premier ministre britannique, David Cameron ont déclaré dans une tribune commune, qu’ils soutiennent « le droit de l’Ukraine à déterminer son propre avenir démocratique et continuer nos efforts pour renforcer les moyens de l’Ukraine ».
Les déclarations des dirigeants occidentaux concernant l’Ukraine n’obligent en rien l’OTAN (Organisation du traité de l’Atlantique Nord) à agir. L’organisation ne compte pas parmi ses membres l’Ukraine, qui possède un statut « hors-bloc ». Cependant, ils lui ont promis de soutenir l’armée l’ukrainienne par des programmes de modernisation dans les domaines de la logistique, de la cyber-défense, du commandement et des soins aux soldats blessés.
Ce vendredi, les dirigeants occidentaux devraient adopter un plan de réactivité destiné à augmenter la rapidité de déploiement des troupes en cas de crise, et d’impliquer plusieurs milliers de soldats sur le territoire. Le but est que cette force armée soit « déployée n’importe où dans le monde très rapidement », ont affirmé Barack Obama et David Cameron.
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