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Au bout d’une semaine de mouvement
6 octobre 2014, par
Le gouvernement local de Hong Kong a lancé un ultimatum aux manifestants pro-démocratie pour qu’ils quittent les lieux occupés depuis une semaine. Beaucoup étaient partagés, estimant n’avoir obtenu aucune concession sur leurs revendications.
Après avoir échangé, les manifestants occupant le quartier commerçant de Mong Kok, sur la partie continentale de Hong Kong, ont décidé qu’ils allaient renforcer les lignes sur le principal site d’occupation à Admiralty, quartier des ministères situé sur l‘île, a indiqué la coalition Occupy Central sur son compte Twitter #OccupyHK. Après une semaine de blocage, une artère d’Admiralty, Lung Wo Road, va être ouverte à la circulation pour permettre à des milliers d’employés de se rendre au travail.
Suite à cette annonce d’un retrait vers Admiralty, les organisations étudiantes ont pris leur distance, par crainte de voir leurs mobilisations s’amoindrir, d’autant que les rangs étaient nettement plus clairsemés que ces derniers jours. « Nous n’avons jamais appelé quiconque à se retirer » des sites occupés, a affirmé l’une de ces organisations, Scholarism, dans un communiqué.
Alors que certains manifestants quittent les lieux, d’autres ont décidé de rester, comme Bosco Leung, étudiant de 21 ans à Mong Kok, « je reste ici », a-t-il assuré à l’Agence France Presse. Ce dernier sera accompagné de près d’un millier de manifestants pro-démocratie qui semblaient déterminés à poursuivre leur occupation dimanche soir. « Certains disent que nous devons quitter Mong Kok et nous replier sur Admiralty, mais c’est peut-être simplement pour nous faire partir », a posé Sophia Kwong, 21 ans.
Allant contre l’ultimatum du gouvernement, les manifestants restant risquent d’être confronté à la police, chargée de les déloger. En effet, le chef de l’exécutif local, Leung Chun-ying, considéré comme la marionnette de Pékin, a annoncé que les autorités prendraient « toutes les mesures nécessaires pour rétablir l’ordre public » et libérer les sites occupés.
Ivan Ha, étudiant en psychologie, a indiqué à l’AFP avoir vu « des policiers transporter des sacs semblant contenir des tenues antiémeute à l’intérieur des bureaux du gouvernement ». Malgré cela, ce dernier reste intraitable : « je vais rester ».
Après la rétrocession de 1997, la Chine avait accepté d’instaurer le suffrage universel lors de la prochaine élection du chef de l’exécutif en 2017. Un moyen pour les autorités chinoises de conserver la main mise sur les candidatures, une décision inacceptable pour les manifestants qui sont descendus dans les rues par dizaines de milliers depuis le 28 septembre.
Craignant une contagion démocratique, Pékin avait dénoncé le mouvement le jugeant “illégal”, créant « climat hostile ». Lors de son allocution, Leung Chun-ying avait mis en garde les manifestants contre les effets de la poursuite du mouvement : « La situation pourrait devenir incontrôlable, ce qui aurait de graves conséquences pour la sécurité du public et l’ordre public ».
Face à la situation complexe et au « climat délétère », les leaders étudiants avaient renoncé à dialoguer avec le gouvernement, indiquant par la suite que des discussions pourraient avoir lieu, à condition qu’une enquête soit ouverte sur les violences des derniers jours. Ces derniers refusent tout dialogue avec le numéro un de l’exécutif, Leung Chun-ying.
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