
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Perte totale d’autorité de Kiev dans le Sud de l’Ukraine
6 mars 2014, par
L’armée russe est désormais régente dans les principales villes de Crimée, où les tractations ont débuté le 5 mars à Simferopol, la capitale régionale. L’ancien président Vladimir Konstantinov, et ses forces, sont en train de débattre de « l’autonomie » de la région.
La question de cette autonomie sera posée par référendum dans les jours à venir. Vladimir Konstantinov et trois parlementaires se sont envolés aujourd’hui pour Moscou, qui devrait aider à hauteur de 3,6 milliards d’euros la Crimée, selon le ministère de l’économie russe. De plus, une réunion plénière de 100 députés doit valider la question.
La région possède depuis 1991, un statut de République en Ukraine, une Constitution, un Parlement et un gouvernement local. Depuis l’arrivée des Russes, les pouvoirs du gouvernement de Simferopol se sont étendus, le Premier ministre, Sergueï Aksionov de Crimée, non reconnu par Kiev, est désormais habilité à faire preuve d’autorité sur les forces de police et armées de la région.
Face au rapport de force établi par Moscou, le référendum pourrait donner une légitimité populaire, mais la rupture entre Kiev et la Crimée n’est pas certaine. Pour Refat Choubarov, patron de l’organe représentatif des tatars de Crimée (musulmans, 12% de la population), cité par "Le Monde", le majlis, groupe non-institutionnel mais puissant, pensent que les Russes « essaient de séparer la Crimée de l’Ukraine ». Ces derniers « nous promettent une vice-présidence du Parlement, trois ministères et onze postes de collaborateurs gouvernement », mais pour lui, « ce ‘gouvernement’ est illégitime"
Pour Refat Choubarov, le pouvoir fera les choses « en deux temps » : un référendum sur l’autonomie, puis « un prétexte, un refus de Kiev de signer leurs conditions ». Alors, « ils organiseront un autre vote sur le rattachement à la Russie ».
Les forces russes ont pris le contrôle partiel de deux bases de lancement de missiles en Crimée, ont indiqué mercredi 5 mars, des sources militaires ukrainiennes à l’Agence France Presse. Ce contrôle a été fait sans échange de tir, a affirmé l’AFP. Pour certains observateurs, cette nouvelle manœuvre accentue la tension entre les forces russes et ukrainiennes. Jusqu’à aujourd’hui, dans la plupart des cas, les soldats russes encerclent les bases ukrainiennes, sans y rentrer.
A Fiolent, les forces russes et des manifestants pro-russes ont pénétré dans la base, située près du port de Sébastopol, où abrite la flotte russe de la mer Noire, a indiqué un porte-parole en Crimée du ministère ukrainien de la Défense, Volodymyr Bova, aux agences de presse. « Les soldats russes sont sur le territoire de l’unité, mais ils ne font que bloquer la partie où se trouvent les missiles », a-t-il expliqué.
Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a réaffirmé que Moscou n’avait « aucune autorité » sur « les forces d’autodéfense » déployées en Crimée. « Je voudrais que l’on explique ce que sont les forces prorusses. Ce sont les forces créées par les habitants de Crimée. Elles ne reçoivent aucun ordre de notre part », a-t-il précisé. Les missiles situés à Fiolent ne sont pas armés, selon Volodymyr Bova. Pour Sergueï Lavrov, la Russie « ne permettra pas un bain de sang » en Ukraine, et « nous ne permettrons aucun attentat contre la vie et la santé de ceux qui vivent en Ukraine, ni contre les Russes qui vivent en Ukraine », a-t-il affirmé lors d’une conférence de presse avec son homologue espagnol, José Manuel Garcia-Margallo.
Céline Tabou
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